Jonathan Pollard, libero grazie alla cricca sionista di Washington

[cariddeo]

A Washington, l'annonce d'un éventuel accord portant sur la libération de Jonathan Pollard déchaîne les passions plus de quinze ans après son arrestation pour espionnage au profit des sionistes.

Selon les sources de geopolitique.com au département américain de la Justice, un accord serait en cours de préparation pour la libération de Jonathan Pollard, condamné à perpétuité pour espionnage au profit de l'entite sioniste. Une éventualité rendue d'autant plus plausible que Jonathan Pollard a comparu devant le juge fédéral Thomas Hogan le 2 septembre dernier en plaidant l'allègement de sa peine. Ses avocats à l'époque du procès l'avaient empêché de faire appel de sa condamnation en 1987.

Le détenu, qui serait aujourd'hui atteint d'une tumeur aux sinus, a été fait "citoyen israélien" en 1995. Depuis, plusieurs premiers ministres sionistes, dont Benyamin Netanyahou - qui lui a même rendu visite en prison - sont intervenus sans succès en faveur de sa libération. Et son évocation pèse sur les relations sionistes-américaines depuis plusieurs années.

Lors des pourparlers de paix de Camp David, le Premier Ministre sionsite Ehud Barak avait conditionné son acceptation des accords à la libération de Johnathan Pollard. Comme son prédécesseur Benyamin Netanyahou en 1998 à Wye Plantation. A l'époque, Bill Clinton avait rejeté toute possibilité d'un recours au dernier moment tandis que le Premier Ministre sioniste tenait pour acquise la remise en liberté du détenu. Aujourd'hui, l'influence des néoconservateurs et le poids des milieux religieux tant à la Chambre des représentants, à travers la figure emblématique du leader républicain Tom DeLay que dans l'administration Bush, et notamment au département de la Défense pourraient être en mesure de changer la donne.


L'idée de la libération de l'espion se fait d'ailleurs si concrète que certains hauts responsables de la communauté du renseignement agitent le chiffon rouge de la démission collective. Le patron de la CIA George Tenet lui-même aurait fait part de ses intentions en ce sens. Cette opposition à toute forme de clémence vis-à-vis de Pollard trouve son fondement dans la gravité des charges contenues dans la plainte - un document de vingt pages toujours classifié - déposée par le secrétaire à la Défense de l'époque, Casper Weinberger.

Dans les années 1980, John Pollard avait communiqué aux services sionistes des mètres cubes de documents, certains recensant toutes les fréquences surveillées par la National Security Agency, d'autres détaillant les cibles des implantations de la NSA à travers le monde. Parmi les autres informations communiquées par Jonathan Pollard figuraient des données sensibles sur l'activité des services de renseignement américains au Moyen-Orient avec des éléments aussi stratégiques que les noms des informateurs des Etats-Unis au sein des différents gouvernements arabes; ou encore les informations partagées par l'administration Reagan avec les services de renseignement irakiens durant la première moitié des années 1980. Enfin, certaines informations communiquées par Pollard à l'entité sioniste auraient servi de monnaie d'échange des sionistes avec Moscou.

C'est la menace d'une attaque nucléaire israélienne contre l'Irak, en 1991, qui a amené par chantage le gouvernement de George Bush père à lancer l'opération « Tempête du désert ». Aujourd'hui, les sionistes, sous le régime dément de Sharo(g)n(e), est la seule entité sur la terre qui corresponde véritablement au profil d'un « Etat voyou », armé jusqu'aux dents avec des « armes de destruction massive ». Les sionistes disposent du troisième arsenal d'armes nucléaires sur terre et d'une triade de systèmes de lancement à partir de sous-marins, de missiles ou de bombardiers, capables de détruire toute la région du golfe Persique. Des scientifiques sionistes ont récemment fait savoir qu'ils ont la capacité de lancer un missile balistique intercontinental, ce qui veut dire qu'aucun endroit sur terre - y compris le territoire américain - n'est à l'abri d'une attaque nucléaire préventive de la part sioniste. La menace constituée par un Sharo(g)n(e) aux commandes ne peut en aucun cas être négligée.
Avez-vous vraiment examiné les processus mentaux d'un totalitarie universel, comme Sharo(g)n(e) ou Netanyahou ?
Depuis l'attaque contre l'Egypte en 1956 par la Grande-Bretagne, la France et les sionistes, jusqu'à la dissolution de la puissance soviétique en 1989-1991, l'accès sioniste à des armes nucléaires a fait d'elle la troisième puissance pouvant faire pencher la balance dans l'équation stratégique globale.
Déjà en 1956, il a fallu un homme militaire de grande expérience, le président américain Dwight Eisenhower, pour obliger l’Entité à abandonner le projet d'invasion du canal de Suez, après la retraite de la France et de la Grande-Bretagne face à la même pression américaine. Eisenhower a non seulement menacé de suspendre toute aide militaire et civile américaine aux sionistes, il a aussi menacé de retirer aux organisations américaines fournissant une aide à l’Entité leur exonération fiscale. Aujourd'hui, une action encore plus résolue de la part d'un président George W. Bush, hélas bien moins compétent, sera nécessaire pour empêcher Sharo(g)n(e) de mener à bien soit une attaque terroriste apparemment « islamique » contre une cible américaine, soit une attaque nucléaire contre l'Irak ou l'Iran. Etes-vous prêt à accepter que le régime Sharo(g)n(e) exerce à nouveau son chantage sur un Président américain, de façon à l'amener à déclencher une autre guerre dans le golfe Persique, de peur que des armes israéliennes de destruction massive ne s'attaquent à l'Iran ? Avez-vous une idée de ce que seront les conséquences pour l'économie américaine, et pour l'économie mondiale, de la nouvelle guerre du golfe Persique, coûtant aux contribuables américains entre 2000 et 3000 milliards de dollars, lancée aujourd'hui, dans les conditions actuelles d'effondrement de l'économie américaine et de faillite totale du système financier ?
J'ai indiqué que le fait de tolérer ce nid d'agents « sharo(g)nistes » au sein du gouvernement américain, constitue une autre entrave empêchant le président Bush d'entreprendre l'action requise, de concert avec nos alliés européens et la Russie, afin d'empêcher Sharo(g)n(e) de provoquer une « guerre perpétuelle ». Dans un récent communiqué de ce comité ("L'affaire Pollard n'est pas finie"), j'ai cité les noms des principaux sharo(g)nistes au Pentagone et au département d'Etat - Paul Wolfowitz, Richard Perle, Doug Feith, David Wurmser - dont certains ont littéralement préparé, en juillet 1996, la doctrine de politique étrangère de guerre perpétuelle du Premier ministre sioniste d'alors, Benjamin Netanyahou. Ces taupes du Likoud infiltrées dans la structure de politique étrangère et de sécurité nationale de Bush sont encore soupçonnées d'implication avec Jonathan Pollard, un Américain condamné pour espionnage au profit sioniste.
Depuis la diffusion à un million d'exemplaires du communiqué de campagne sur l'affaire Pollard, de nouveaux éléments de preuve encore plus accablants sont apparus. Par conséquent, il faut intensifier la demande d'ouverture d'une enquête exhaustive sur certains membres du personnel du bureau du vice-Président, à commencer par son chef de cabinet, Lewis Libby, qui est aussi son conseiller en matière de sécurité nationale.
Libby, un protégé de Paul Wolfowitz depuis trente ans, a mis sur pied une sorte de « conseil national de sécurité fantôme » dans le bureau du vice-Président, qui protège un nid d'agents sionistes au Pentagone et au département d'Etat, et a bloqué une purge, pourtant urgente, de ces agents du Likoud. Libby entretient aussi d'étroites relations avec les milieux proches de Sharo(g)n(e) dans l’Entité, y compris le réseau d'espionnage de Pollard.
De 1985 à 2000, alors qu'il n'était pas au gouvernement, Libby était l'avocat personnel de Marc Rich, un escroc en fuite, inculpé en 1983 par le ministère américain de la Justice pour évasion fiscale et commerce avec l'ennemi. Il a fui les Etats-Unis pour s'installer dans un abri luxueux à Zug (Suisse).
Selon des sources sionistes, Rich ferait actuellement l'objet d'une enquête pour versement illicite de contributions à la dernière campagne politique d'Ariel Sharo(g)n(e) dans l’Entité.. En outre, il a été impliqué dans des opérations de la mafia russe en Afrique et a ouvertement financé, par le biais de la fondation Marc Rich dans l’Entité, des opérations internationales du Mossad.
Leonard Garment, le mentor de Lewis Libby et son associé dans un cabinet d'avocats, a joué un rôle central dans les efforts du gouvernement sioniste pour « limiter les dégâts » suite à l'arrestation de Pollard en novembre 1985. Il était aussi l'avocat du colonel Aviem Sella, de l'armée de l'Air des sionistes, l'homme qui avait recruté et déployé Pollard.
Aujourd'hui, le régime d'Ariel Sharo(g)n(e) à provoquer une guerre régionale au Proche-Orient, les USA sont en Irak. Le danger existe que les sharo(g)nistes du président Bush continue leur chantage et ne pousse les américains à faire la guerre à la Syrie, l'Iran. Si les USA ne veulent pas aller plus loin que l'Irak, alors l'entité sioniste pourrait le faire. Cela signifie l'utilisation probable d'armes nucléaires, biologiques ou chimiques, l'arsenal sioniste. Pendant ce temps, les taupes de Sharo(g)n(e) à Washington opèrent dans l'ombre du vice-Président et du ministre de la Défense des Etats-Unis. Pour empêcher Sharo(g)n(e) de lancer une troisième guerre mondiale au Proche-Orient, il est urgent d'ouvrir une enquête sur l'ensemble de cet appareil clandestin lié à Pollard, de le dénoncer et de le chasser du gouvernement, dès maintenant !


© cariddeo pour LVO, Paris, France

[Rick Hunter]

Se la prossima volta vuoi che qualcuno ti risponda, almeno traduci queste tue scemenze arabo francese dei miei stivali.

[cariddeo]

Impara prima l'educazione e poi anche qualche lingua, così capirai che non ci sono scritte scemenze!
@+

[Shambler]

Cariddeo, vedrai che se gli spieghi di non essere arabo diventa subito gentilissimo.

[Senatore]

In origine postato da cariddeo
Impara prima l'educazione e poi anche qualche lingua, così capirai che non ci sono scritte scemenze!
@+

Comunque sei davvero crudele nell'insistere con questo francese. Almeno fosse polacco, mi metterei il cuore in pace, e invece no: il francese, penso,, non lo posso non capire e allora leggo e capisco alcune parole, ma così lentamente che mi sfugge sempre il senso generale.