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  1. #21
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    Predefinito L'attualità di Sant'Antonio

    Noi figli dobbiamo chiedere qualcosa al Padre nostro.
    Ma tutto ciò che esiste è nulla, fuorché amare Dio. Dobbiamo quindi chiedere di amare Dio, sostentandolo nelle sue membra più deboli e malate, cibarlo nei poveri e negli indigenti. Se chiediamo amore, ebbene, lo stesso Padre, che è Amore, ci darà ciò ch’egli è: l’amore!
    (Dai Sermones, vol. I, pp. 333-334).

  2. #22
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    Da dom Prosper Guéranger, L’Année Liturgique - Le Temps après la Pentecoste, Paris-Poitiers, 1903, IX ediz., t. III, p. 177-187

    LE XIII JUIN.

    SAINT ANTOINE DE PADOUE, CONFESSEUR.


    Réjouis-toi, heureuse Padoue, riche d'un trésor sans prix (1)! Antoine, en te léguant son corps, a plus fait pour ta gloire que les héros qui te fondèrent en ton site fortuné, que les docteurs de ton université fameuse. Cité chérie du Fils de Dieu, dans le siècle même qui le vit prendre chair au sein de la Vierge bénie, il envoyait Prosdocime t'annoncer sa venue; et tout aussitôt, répondant aux soins de ce disciple de Pierre, ton sol fertile offrait au Seigneur Jésus la plus belle fleur de l'Italie dans ces premiers jours, la noble Justine, joignant aux parfums de sa virginité la pourpre du martyre: mère illustre, à qui tu devras de voir se reformer dans tes murs les phalanges monastiques présentement dispersées; nouvelle Debbora, qui bientôt étendra sur Venise ta rivale son patronage glorieux, et, unissant sa force suppliante à la puissance du lion de saint Marc, obtiendra du Dieu des armées le salut de la chrétienté dans les eaux de Lépante. Aujourd'hui, comme si, ô Padoue, tes gloires natives ne suffisaient pas aux ambitions pour toi de l'éternelle Sagesse, voici que du fond de l'antique Ibérie, Lisbonne est contrainte de te céder sa perle la plus précieuse. Au milieu des troubles qui agitent l'Eglise et l'empire, dans la confusion qu'amène l'anarchie au sein des villes italiennes, Antoine et Justine partageront le soin de ta défense contre les tyrans; l'Occident tout entier bénéficiera de cette alliance redoutable sur terre et sur mer aux ennemis de la paix et du nom chrétien. Combats nouveaux, qu'aime le Seigneur (2)! Quand cessent de se montrer les forts en Israël, Dieu se lève et triomphe par les petits et les faibles. L'Eglise alors en paraît plus divine.

    Le temps de Charlemagne n'est plus. L'œuvre de saint Léon III subsiste toujours; mais les césars allemands ont trahi Rome, dont ils tenaient l'empire. L'homme ennemi, laissé libre, a semé l'ivraie dans le champ du Père de famille; l'hérésie germe en divers lieux, le vice pullule; et si les papes, aidés des moines, sont parvenus, en d'héroïques combats, à rejeter le désordre en dehors du sanctuaire, les peuples, exploités trop longtemps par des pasteurs vendus, restent sur la défiance, et se détachent maintenant de l'Eglise. Qui les ramènera? qui fera sur Satan cette nouvelle conquête du monde? C'est alors que, toujours présent et vivant dans l'Eglise, l'Esprit de la Pentecôte suscite les fils de Dominique et de François. Milice nouvelle organisée pour des besoins nouveaux, ils se jettent dans l'arène, poursuivant l'hérésie dans ses repaires les plus secrets comme au grand jour, tonnant contre les vices des petits et des grands, combattant l'ignorance; partout dans les campagnes et les villes ils se font écouter, déconcertant les faux docteurs tout à la fois par les arguments de la science et du miracle, se mêlant au peuple qu'ils subjuguent par la vue de leur héroïque détachement donné en spectacle au monde, et qu'ils rendent au Seigneur repentant et affermi, en l'enrôlant par foules compactes dans leurs tiers-ordres devenus en ces temps le refuge assuré de la vie chrétienne. Or, de tous les fils du patriarche d'Assise, le plus connu, le plus puissant devant les hommes et devant Dieu, est Antoine, que nous fêtons en ce jour.

    Sa vie fut courte: à trente-cinq ans, il s'envolait au ciel. Mais ce petit nombre d'années n'avait pas empêché le Seigneur de préparer longuement son élu au ministère merveilleux qu'il devait remplir: tant il est vrai que, dans les hommes apostoliques, ce qui importe pour Dieu et doit faire d'eux l'instrument du salut d'un plus grand nombre d'âmes, est moins la durée du temps qu'ils pourront consacrer aux œuvres extérieures, que le degré de leur sanctification personnelle et leur docile abandon aux voies de la Providence. On dirait, pour Antoine, que l'éternelle Sagesse se plaît, jusqu'aux derniers temps de son existence, à déconcerter ses pensées. De ses vingt années de vie religieuse, il en passe dix chez les Chanoines réguliers, où, à quinze ans, l'appel divin a convié sa gracieuse innocence; où, tout entière captivée par les splendeurs de la Liturgie, l'étude des saintes Lettres et le silence du cloître, son âme séraphique s'élève à des hauteurs qui le retiennent, pour jamais, semble-t-il, dans le secret de la face de Dieu. Soudain l'Esprit divin l'invite au martyre: et nous le voyons, laissant son cloître aimé, suivre les Frères Mineurs aux rivages où plusieurs d'entre eux ont déjà conquis la palme glorieuse. Mais le martyre qui l'attend est celui de l'amour; malade, réduit à l'impuissance avant que son zèle ait pu rien tenter sur le sol africain, l'obéissance le rappelle en Espagne, et voici qu'une tempête le jette sur les côtes d'Italie.

    On était dans les jours où, pour la troisième fois depuis la fondation de l'Ordre des Mineurs, François d'Assise réunissait autour de lui son admirable famille. Antoine, inconnu, perdu dans l'immense assemblée, vit les Frères à la fin du Chapitre recevoir chacun leur destination, sans que personne songeât à lui; le descendant de l'illustre famille de Bouillon et des rois d'Asturie restait oublié dans ces assises de la sainte pauvreté. Au moment du départ, le ministre de la province de Bologne, remarquant l'isolement du jeune religieux dont personne ne semblait vouloir, l'admit par charité dans sa compagnie. A l'ermitage du Mont Saint-Paul, devenu sa résidence, on lui confia le soin d'aider à la cuisine et de balayer la maison, comme l'emploi qui semblait répondre le mieux à ses aptitudes. Durant ce temps, les chanoines de Saint-Augustin pleuraient toujours celui dont la noblesse, la science et la sainteté faisaient naguère la gloire de leur Ordre.

    L'heure arriva pourtant, où la Providence s'était réservé de manifester Antoine au monde; aussitôt, comme on l'avait dit du Sauveur lui-même, le monde entier se précipita sur ses pas (3). Autour des chaires où prêchait l'humble Frère, ce ne furent que prodiges dans l'ordre de la nature et dans l'ordre de la grâce. A Rome il méritait le noble titre d’arche du Testament, en France celui de marteau des hérétiques. Il nous est impossible de suivre en tout sa trace lumineuse; mais nous ne devons pas oublier qu'en effet, une part principale revient à notre patrie dans les quelques années de son puissant ministère.

    Saint François avait grandement désiré évangéliser lui-même le beau pays de France, ravagé par l'odieuse hérésie; il lui envoya du moins le plus cher de ses fils, sa vivante image. Ce que saint Dominique avait été dans la première croisade contre les Albigeois, Antoine le fut dans la seconde. C'est à Toulouse qu'a lieu le miracle de la mule affamée, qui laisse sa nourriture pour se prosterner devant l'Hostie sainte. De la Provence au Berry, les diverses provinces entendent sa parole ardente; tandis que le ciel réconforte par de délicieuses faveurs son âme restée celle d'un enfant, au milieu de ses triomphes et de l'enivrement des multitudes. Dans une maison solitaire du Limousin, sous le regard de son hôte, c'est le saint Enfant Jésus, rayonnant d'une admirable beauté, qui descend dans ses bras et lui prodigue ses caresses en réclamant les siennes. Un jour d'Assomption qu'il était tout triste, au sujet de certain passage de l'Office d'alors peu favorable à l'entrée de la divine Mère au ciel en corps et en âme, Notre-Dame vient le consoler dans sa pauvre cellule, l'assure de la véritable doctrine, et le laisse ravi des charmes de son doux visage et de sa voix mélodieuse. A Montpellier, comme il prêchait dans une église de la ville au milieu d'un immense concours, il se rappelle qu'il est désigné pour chanter à l'heure même dans son couvent l’ Alléluia de la Messe conventuelle; il avait oublié de se faire remplacer; profondément chagrin de cette omission involontaire, il incline la tête; or, tandis que, penché sur le bord de la chaire, il semble dormir, ses Frères le voient paraître au chœur, et remplir son office; après quoi, reprenant vie devant son auditoire, il achève avec éloquence le sermon commencé.

    C'est dans cette même ville de Montpellier où il enseignait la théologie aux Frères, que son Commentaire des Psaumes ayant disparu, le voleur fut contraint par Satan lui-même à rapporter l'objet dont la perte causait au Saint les plus vifs regrets. Plusieurs voient dans ce fait l'origine de la dévotion qui reconnaît Antoine comme le patron des choses perdues: dévotion appuyée dès l'origine sur les miracles les plus éclatants, et que des grâces incessantes ont confirmée jusqu'à nos jours.

    Mais il est temps de donner sur cette belle vie le récit abrégé de la sainte Eglise.

    Antoine naquit à Lisbonne en Portugal, de parents nobles, qui l’élevèrent dans l'amour de Dieu. Jeune homme, il embrassa la vie des Chanoines Réguliers. Or il arriva que cinq Frères Mineurs étant morts pour la foi au Maroc, les corps des bienheureux martyrs furent transportés à Coïmbre; leur vue embrasa Antoine du désir d'être aussi martyr, et il passa dans l'ordre de Saint-François. Sous l'impulsion du même désir, il eut bientôt gagné le pays des Sarrasins; mais une maladie le réduisit à l'impuissance et le força de revenir. Or, comme le navire faisait voile sur l'Espagne, les vents le poussèrent en Sicile.

    De Sicile il se rendit au chapitre général qui se tenait à Assise. Puis, retiré dans l'ermitage du Mont Saint-Paul en Emilie, il y vaqua longtemps à la divine contemplation, aux jeûnes et aux veilles. Dans la suite, élevé aux saints Ordres, il reçut la mission de prêcher l'Evangile. Telles apparurent alors la sagesse et l'abondance de sa parole, telle fut l'admiration qu'il excita, que, prêchant un jour devant le Souverain Pontife, il fut appelé par lui l'Arche du Testament. L'hérésie surtout ressentit sa vigueur, et les coups qu'il lui porta valurent à Antoine le nom de perpétuel marteau des hérétiques.

    Le premier de son Ordre, à cause de l'éclat de sa science, il expliqua les saintes Lettres à Bologne et ailleurs, et dirigea les études de ses Frères. Après avoir parcouru des provinces nombreuses, un an avant sa mort il vint à Padoue, où il laissa de sa sainteté d'insignes monuments. Enfin, précédé par les grands travaux qu'il avait accomplis pour la gloire de Dieu, chargé de mérites, illustre par ses miracles, il s'endormit dans le Seigneur aux ides de juin, l'an du salut mil deux cent trente et un. Le Souverain Pontife Grégoire IX l'inscrivit au nombre des saints Confesseurs.

    Le défaut d'espace nous contraint, à notre grand regret, d'être sobre de pièces liturgiques. Mais nous ne pouvons omettre ici le Répons miraculeux, dont la composition est attribuée à saint Bonaventurc, et qui justifie son nom tous les jours encore pour ceux qui le récitent avec foi dans leurs nécessités. C'est le huitième répons de l'Office de saint Antoine de Padoue dans la liturgie franciscaine. Il devint de bonne heure, avec la dévotion aux neuf mardis en l'honneur du Saint, une source de grâces pour le peuple chrétien.

    REPONS DE SAINT ANTOINE DE PADOUE.

    Si vous cherchez des miracles, la mort, l'erreur, le malheur, le démon, la lèpre, s'enfuient; les malades se lèvent guéris.

    * On voit céder la mer, et les chaînes se briser, jeunes et vieux retrouver par la prière l'usage de leurs membres et les objets perdus.

    V/. Les dangers s'évanouissent, le besoin cesse: à ceux qui l'éprouvent de le faconter, aux Padouans de le dire.

    * On voit céder la mer. Gloire au Père.

    * On voit céder la mer.

    V/. Priez pour nous, saint Antoine,

    R/. Afin que nous soyons rendus dignes des promesses de Jésus-Christ.

    PRIONS

    Que la mémoire faite par nous du bienheureux Antoine votre confesseur soit pour votre Eglise, ô Dieu, une cause de joie; qu'elle y trouve l'appui constant de vos grâces, et l'assurance du bonheur éternel. Par Jésus-Christ notre Seigneur. Ainsi soit-il.

    Glorieux Antoine, la simplicité de votre âme innocente a fait de vous le docile instrument de l'Esprit d'amour. L'enfance évangélique est le thème du premier des discours que le Docteur séraphique consacre à votre louange; la sagesse, qui fut en vous le fruit de cette enfance bénie, forme le sujet du second. Vous étiez sage, ô Antoine; car dès vos jeunes années vous aviez poursuivi l'éternelle Sagesse, et, ne voulant qu'elle en partage, vous aviez en grande hâte enfermé votre amour dans le secret du cloître et de la face de Dieu, pour savourer ses délices. Vous n'ambitionniez que le silence et l'obscurité dans son divin commerce; et, dès ici-bas, ses mains se sont plues à vous orner d'une incomparable splendeur. Elle marchait devant vous; vous la suiviez joyeux pour elle seule, et sans savoir que tous les biens devaient se rencontrer pour vous dans sa compagnie (4). Heureuse enfance, à qui, maintenant comme de vos jours, sont réservés la Sagesse et l'amour! Mais qui, dans le monde, est enfant aujourd'hui? s'écrie votre illustre et saint panégyriste. Plus d'humble petitesse; aussi, plus d'amour.

    On ne voit que vallées s'arrondir en collines, et collines s'enfler en montagnes. Mais qu'est-il écrit? Vous les avez renversés, dans le temps qu'ils s'élevaient (5). Et Dieu dit à ces hauteurs usurpées: Je t'ai ramené à la petitesse de l'enfance, mais d'une enfance profondément méprisable au milieu des nations (6). Pourquoi, ô hommes, cette puérilité remplissant vos jours d'inconstance, d'ambition tapageuse, d'efforts qui ne récoltent que le vent? Autre est l'enfance dont il est dit qu'elle est la plus grande dans la patrie des vraies grandeurs (7). Elle fut la vôtre, glorieux Antoine, et vous livra tout entier aux divines influences (8).

    En retour de votre soumission toute d'amour au Père qui est dans les cieux, les peuples vous obéirent, les plus féroces tyrans tremblèrent à votre voix (9). L'hérésie seule, un jour, refusa d'écouter vos accents; mais les poissons vous vengèrent: ils vinrent par multitudes, aux yeux de toute une ville, écouter votre parole dédaignée des sectaires. L'erreur, hélas! qui se dérobait devant vous, ne se contente plus maintenant de refuser d'entendre; elle veut parler seule. Après s'être relevée depuis longtemps des défaites que vous lui aviez infligées, la fille de Manès, restée la même sous le nom nouveau de franc-maçonnerie, gouverne à son gré la France; le Portugal, où vous naquîtes, la voit chercher presque au grand jour à pénétrer jusqu'à l'autel; le monde entier s'abreuve à ses poisons. O vous qui, chaque jour, subvenez à vos dévots clients dans leurs nécessités privées, vous dont la puissance est la même au ciel qu'autrefois sur la terre, secourez l'Eglise, le peuple de Dieu, la société plus universellement et plus profondément menacée que jamais. Arche du Testament, ramenez à l'étude fortifiante des Lettres sacrées nos générations sans amour et sans foi; marteau des hérétiques, frappez de ces coups qui fassent encore trembler l'enfer et réjouissent les anges.

    -----------------------------------------------------------------------
    NOTE

    1. Ant. festi ad Benedictus, ap. Minores.

    2. Judic. V, 8.

    3. Johan. XII, 19.

    4. Sap. VII.

    5. Psalm. LXXII, 18.

    6. Abd. 2.

    7. Matth. XVIII, 4.

    8. Bonav. Sermo 1 de S. Ant. Patav.

    9. Sap. VIII, 14, 15.

  3. #23
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    Autore ignoto, S. Antonio di Padova, metà XX sec., Capurso (BA)

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  7. #27
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    Basilica di Sant'Antonio, Padova, Padova

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    Giambattista Tiepolo, S. Antonio di Padova e Gesù Bambino, XVIII sec., Museo del Prado, Madrid

    Luca Giordano, S. Antonio di Padova e Gesù Bambino, XVIII sec., musée du Louvre, Parigi

    Antoon van Dyck, Il miracolo della mula a Tolosa, XVII sec., Palais des Beaux-Arts, Lille

    Arnould de Vuez, S. Antonio predica, XVII sec., Palais des Beaux-Arts, Lille

  9. #29
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    Lightbulb Re: 13 giugno - S. Antonio da Padova, Dottore della Chiesa

    13 giugno 2017: Sant'Antonio da Padova, confessore e dottore della Chiesa, la seconda delle sei Apparizioni della Madonna alla Cova da Iria a Fatima, tredicesimo giorno del Mese dedicato al Sacro Cuore di Gesù…




    “Sant'Antonio di Padova, confessore e dottore, 13 giugno.”
    Dom Prosper Guéranger, L'Anno Liturgico
    http://www.unavoce-ve.it/gueranger.htm






    Sant'Antonio di Padova - Sodalitium
    http://www.sodalitium.biz/santantonio-di-padova/
    “13 giugno, Sant’Antonio di Padova, Confessore e Dottore della Chiesa (Lisbona, c. 1195 – Padova, 13 giugno 1231)
    , il “martello degli eretici”.
    “A Padova sant’Antonio Portoghese, Sacerdote dell’Ordine dei Minori, Confessore e Dottore della Chiesa, illustre per la vita, pei miracoli e per la predicazione, il quale, non essendo ancora trascorso un anno dalla sua morte, dal Papa Gregorio nono fu ascritto nel numero dei Santi”.
    Indegno per le colpe commesse di comparire davanti a Dio Vengo ai tuoi piedi, amorosissimo Sant’Antonio, per implorare la tua intercessione nella necessità in cui verso. Siimi propizio del tuo possente patrocinio, liberami da ogni male, specie dal peccato, e impetrami la grazia di ……… Caro Santo, sono anch’io nel numero dei tribolati che Dio ha commesso alle tue cure, e alla tua provvidente bontà.Sono certo che anche io per mezzo tuo avrò quanto chiedo e così vedrò calmati i miei dolori, confortate le mie angustie, asciugate le mie lacrime, ritornato alla calma il mio povero cuore. Consolatore dei tribolati non negarmi il conforto della tua intercessione presso Dio. Così sia!”


    www.sursumcorda.cloud
    https://www.facebook.com/CdpSursumCorda/?fref=nf

    “Carlo Di Pietro - Sursum Corda
    Preghiera al Santo del giorno.
    In nómine Patris
    et Fílii
    et Spíritus Sancti.
    Amen.

    Eterno Padre, intendo onorare sant’António Portoghése, Sacerdote dell’Ordine dei Minori, Confessore e Dottore della Chiesa, illustre per la vita, pei miracoli e per la predicazione, il quale, non essendo ancora trascorso un anno dalla sua morte, dal Papa Gregorio nono fu ascritto nel numero dei Santi. Vi rendo grazie per tutte le grazie che Voi gli avete elargito. Vi prego di accrescere la grazia nella mia anima per i meriti di questo santo Confessore e Dottore della Chiesa, ed a lui affido la fine della mia vita tramite questa speciale preghiera, così che per virtù della Vostra bontà e promessa, sant’António Portoghése possa essere mio avvocato e provvedere tutto ciò che è necessario in quell'ora. Così sia.”



    Si quæris miracula - Centro Studi Giuseppe Federici
    http://www.centrostudifederici.org/si-quaeris-miracula/
    “Si quæris miracula 13 giugno 2017
    Centro studi Giuseppe Federici – Per una nuova insorgenza
    Si quæris miracula
    Responsorio in onore di Sant’Antonio di Padova


    Si quæris miracula
    mors, error, calamitas,
    dæmon, lepra fugiunt,
    ægri surgunt sani.
    Cedunt mare, vincula,
    membra, resque perditas
    petunt, et accipiunt
    juvenes, et cani.
    Pereunt pericula,
    cessat et necessitas;
    narrent hi, qui sentiunt,
    dicant Paduani.
    Cedunt mare, vincula,
    membra, resque perditas
    petunt, et accipiunt
    juvenes, et cani.
    Glória Patri et Filio et Spíritui Sancto.
    Sicut erat in princípio,
    et nunc et semper
    et in sæcula sæcolorum.
    Cedunt mare, vincula,
    membra, resque perditas
    petunt, et accipiunt
    juvenes, et cani. Amen.
    Ora pro nobis, Beate Antoni, Ut digni efficiamur promissionibus Christi.
    Oremus.
    Ecclesiam tuam, Deus, Beati Antonii Confessoris tui commemoratio votiva lætificet, ut spiritualibus semper muniatur auxiliis et gaudiis perfrui mereatur æternis. Per Christum Dominum nostrum.
    O Lingua benedicta, quæ Dominum semper benedictisti et alios benedicere fecisti: nunc manifeste apparet quanti meriti extitisti apud Deum.


    Se cerchi i miracoli,
    la morte, l'errore, la calamità
    e il demonio sono messi in fuga,
    gli ammalati divenir sani.
    Il mare si calma,
    le catene si spezzano;
    ritrovano le cose perdute
    i giovani ed i vecchi.
    S'allontanano i pericoli,
    scompaiono le necessità;
    lo attesti chi ha sperimentato
    la protezione del Santo di Padova.
    Il mare si calma,
    le catene si spezzano;
    ritrovano le cose perdute
    i giovani ed i vecchi.
    Gloria al Padre e al Figlio e allo Spirito Santo.
    Come era nel principio,
    ora e sempre,
    nei secoli dei secoli.
    Il mare si calma,
    le catene si spezzano;
    ritrovano le cose perdute
    i giovani ed i vecchi. Così sia.
    Prega per noi, o Beato Antonio, perché siam fatti degni delle promesse di Cristo.
    Preghiamo.
    O Dio, la votiva commemorazione del Beato Antonio, Confessore tuo, allieti la tua Chiesa affinchè resti sempre munita di aiuti spirituali e meriti di godere gli eterni gaudi del Cielo. Per Cristo, nostro Signore.
    O Lingua benedetta, che benedicesti sempre il Signore e lo facesti benedire dagli altri, ora chiaro appare di quanto merito sei stata al cospetto di Dio.

    Dal 1866, per volontà di Pio IX, si concede un'indulgenza di 100 giorni a tutti i fedeli che con cuore contrito recitano il presente Responsorio e l'annessa Orazione.
    Si quæris miracula - Centro Studi Giuseppe Federici






    “Oh come tremano, afferma S. Bernardo, i demoni al sentire solamente proferire il nome di Maria: In nomine Mariae omne genu flectitur; et daemones non solum pertimescunt, sed, audita hac voce, contremiscunt (Serm. sup. Miss.). Conforme gli uomini, soggiunge Tommaso de Kempis, (Lib. 4, ad Nov.) cadono a terra per timore, allorché un tuono dal cielo cade lor vicino, così cadono abbattuti i demoni al sentir nominare Maria: Expavescunt caeli reginam spiritus maligni et diffugiunt, audito nomine eius, velut ab igne. Tamquam tonitruum de caelo factum sit, prosternuntur ad sanctae Mariae vocabulum. Ed oh quante belle vittorie di questi nemici han riportato i divoti di Maria col suo santissimo nome! Così li vinse S. Antonio di Padova, così il B. Enrico Susone, così tanti altri amanti di Maria. Si sa dalle relazioni delle missioni del Giappone che ivi ad un certo cristiano una volta comparvero molti demoni in forma di feroci animali a spaventarlo e minacciarlo; ma egli disse lor così: «Io non ho armi di cui possiate voi temere; se vel permette l'Altissimo, fate di me quel che vi piace. Del resto adopro in mia difesa i dolcissimi nomi di Gesù e di Maria.» Così disse appena, ed ecco che al suono de' tremendi nomi si aprì la terra, e precipitarono quei spiriti superbi. E S. Anselmo attesta per sua esperienza di aver veduto ed inteso molti che al nominare Maria subito sono stati liberati da' pericoli: Saepe vidimus et audivimus plurimos homines in suis periculis nominis recordari Mariae, et illico omnis periculi malum evasisse (S. Ans., de Exc. Virg., c. 6).
    Da S. Alfonso Maria de Liguori
    Glorie di Maria
    Parte prima
    CAPITOLO IV. - Ad te clamamus, exsules filii Hevae.

    § 2. - Quanto è potente Maria in difendere chi l'invoca nelle tentazioni del demonio.”



    Cronologia di Fatima
    "CRONOLOGIA DI FATIMA."



    La Seconda Apparizione a cova da Iria
    "13 Giugno 1917 - La seconda delle sei apparizioni della Madonna alla Cova da Iria

    Il 13 giugno 1917, verso le 11, Lucia, Francesco e Giacinta come voluto dalla Madonna, si trovano alla Cova da Iria. La voce si è sparsa e con loro adesso ci sono circa cinquanta persone. Recitano tutti assieme, il S. Rosario.
    Dopo aver recitato il rosario con Giacinta e Francesco, e con le altre persone che erano presenti, scrive Lucia, vidi nuovamente il riflesso della luce che si avvicinava (e che noi chiamavamo lampo) e, poi, la Madonna sul leccio, esattamente come nel mese di maggio.
    - Che cosa volete da me? Le chiesi.
    - Voglio che veniate qui il 13 del mese prossimo, che recitiate il rosario tutti i giorni e che impariate a leggere. Dirò in seguito cosa voglio.
    - Chiesi la guarigione di un malato.
    - Se si convertirà (rispose la Madonna) guarirà nel corso dell’anno - I Cuori di Gesù e di Maria hanno su di voi dei progetti di misericordia.
    - Vorrei chiedervi di condurci in cielo.
    - Sì, Giacinta e Francesco ve li condurrò molto presto, ma tu, ma tu resterai qui ancora per qualche tempo. Gesù vuole servirsi di te per farmi conoscere ed amare. Egli vuole stabilire nel mondo la devozione al mio Cuore Immacolato. A chi praticherà questa devozione io prometto la salvezza, queste anime saranno predilette da Dio, come fiori posti da Me per ornare il suo trono.
    - Resterò qui tutta sola? domandai con tristezza.
    - No, figlia mia! Questo ti fa soffrire molto? Non scoraggiarti! Non ti abbandonerò mai. Il mio Cuore Immacolato sarà il tuo rifugio e la via che ti condurrà fino a Dio.
    Nel momento in cui pronunciava queste ultime parole disgiunse le mani e ci comunicò, per la seconda volta, il riflesso di questa luce immensa.
    In essa noi ci vedemmo come immersi in Dio. Giacinta e Francesco sembravano trovarsi in quella parte di luce che saliva verso il cielo ed io in quella che si diffondeva sulla terra.
    Dinanzi al palmo della mano destra della Madonna cera un cuore circondato di spine che sembravano conficcarsi in esso. Abbiamo capito che si trattava del Cuore Immacolato di Maria, oltraggiato dai peccati della umanità, che chiedeva riparazione."




    Ligue Saint Amédée
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    “Intransigeants sur la doctrine ; charitables dans l'évangélisation [Non Una Cum].”
    “13 juin 1917 : deuxième apparition de Fatima.”
    “13 juin 1929: Notre Dame apparaît à sœur Lucie de Fatima à Tuy.”
    13 juin : Saint Antoine de Padoue, Religieux de Saint-François (1195-1231).”





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    “13 giugno 2017: Sant'Antonio da Padova, confessore e dottore della Chiesa.

    Il Santo, che ha vissuto in Italia solo alcuni anni della sua vita conclusasi a Padova, è di origine portoghese. Gli ha infatti dato i natali intorno al 1195 Lisbona, in Portogallo. Antonio era figlio di Martino, nobile che la tradizione vuole della famiglia dei Bulhoes y Taveira de Azevedo - da noi chiamati più semplicemente i Buglioni - che annoverava tra i suoi membri il prode Goffredo, condottiero della prima crociata.
    Quindicenne, Fernando (con tale nome era stato battezzato) entrò fra i canonici regolari di sant'Agostino, a Lisbona prima e poi a Coimbra. Di intelligenza acuta e brillante, in pochi anni riuscì a immagazzinare tanta cultura teologica, scientifica e soprattutto biblica da meritarsi in seguito il titolo di "Arca del testamento". Gli studi non riuscirono però ad appagare le aspirazioni del suo animo generoso. Il giovane canonico trova la sua strada il giorno in cui a Lisbona approdarono le salme, di cinque frati francescani martirizzati nel Marocco. Decise allora di seguirne le orme entrando tra i francescani di Coimbra con il nome di frate Antonio.
    Si era recato in Marocco per coronare la propria vita con il martirio, ma misteriose febbri lo obbligarono a tornare in patria. Durante il viaggio una tempesta lo fece naufragare sulle coste della Sicilia, presso Milazzo. Risalì quindi l'Italia, in compagnia di altri frati, diretti ad Assisi dove si svolgeva il Capitolo generale poi detto "delle stuoie". Era il 1221. Nella cittadina umbra Antonio conobbe Francesco, il quale qualche tempo più avanti, ammirato dalla sua profonda dottrina, lo chiamerà "mio vescovo".
    Ad Assisi il frate portoghese venne destinato al convento-romitorio di Montepaolo, vicino a Forlì, dove rimase per qualche tempo alternando preghiere, lavoro e studio. Una predica improvvisata, in occasione di un'ordinazione sacerdotale (era venuto a mancare il predicatore ufficiale), impose all'attenzione di tutti la profonda cultura, la capacità oratoria, e la ricchezza interiore di frate Antonio. All'indomani, lasciato l'eremo di Montepaolo, il frate era già sulle strade polverose dell'Italia settentrionale e della Francia, missionario itinerante e predicatore, ad annunciare il messaggio evangelico e francescano, contro le labili costruzioni degli eretici che avevano infestato quelle regioni. Nella eretica Rimini, che rifiutava di ascoltare la Parola di Dio, egli andò a predicare ai pesci che lo accolsero sulla riva. In altre città eccolo sfidare gli eretici inducendo una mula, tenuta a digiuno per giorni, ad inginocchiarsi di fronte all'ostia consacrata, mentre alle sue froge giungeva invitante il profumo d'un bel mucchio di biada.
    Tornato in Italia, si stabilì a Padova, dove proseguì la sua attività di Predicatore.
    Celebre un suo quaresimale, tenuto a Padova alcuni mesi prima di morire, e un coraggioso quanto sfortunato incontro con il feroce tiranno Ezzelino da Romano, dal quale era andato a perorare la liberazione di alcuni prigionieri tenuti barbaramente segregati nelle celle del suo palazzo.
    Negli ultimi tempi, spossato dalla fatica e dalla malattia (soffriva per le conseguenze delle febbri malariche) accettò l'invito di un amico, il conte Tiso di Camposampiero, a recarsi nel convento di quella cittadina, immerso nella quiete della campagna, per riposarsi. A Camposampiero, Antonio si era fatto costruire dall'amico conte tra i rami fronzuti di un noce una piccola cella, dove si ritirava a pregare. Ma quella solitudine fu infranta dagli ammiratori che, scoperto il nascondiglio segreto, si recavano in massa a chiedergli il conforto della parola.
    Nella tarda primavera del 1231, Antonio fu colto da malore. Deposto su un carro trainato da buoi, venne trasportato a Padova, dove aveva chiesto di poter morire. Giunto però all'Arcella, un borgo della periferia della città, la morte lo colse. Spirò mormorando: "Vedo il mio Signore". Era il 13 giugno. Aveva 36 anni.
    Il Santo venne sepolto a Padova, nella chiesetta di santa Maria Mater Domini, il rifugio spirituale del Santo nei periodi di intensa attività apostolica. Un anno dopo la morte, la fama dei tanti prodigi compiuti convinse Gregorio IX a bruciare le tappe del processo canonico e a proclamarlo santo. La Chiesa ha reso giustizia alla sua dottrina, proclamandolo nel 1946 di «dottore della chiesa universale».”
    “il 13 giugno 1799 il cardinale Ruffo, con l'armata della Santa Fede, entra in Napoli, liberandola dalla repubblica giacobina.”






    13° giorno: Cuore misericordioso - Cuore invidioso
    “13° giorno: Cuore misericordioso – Cuore invidioso
    CUORE MISERICORDIOSO

    La parola “misericordioso” significa, letteralmente, «dare il cuore ai miseri» (miseris-cor-dare).
    Quando Gesù ci dice di essere misericordiosi come il Padre dei cieli che fa piovere sui giusti e sugli ingiusti (Mt 5,45), ci chiede appunto di essere buoni e comprensivi di cuore verso coloro che non meriterebbero.
    Si sa che il mondo è teatro di tante cattiverie, ingiustizie, disonestà. La tentazione più immediata che tutti proviamo è quella di colpire i malfattori e i malviventi, trattandoli con la severità che meritano.
    Ma se facciamo così, non potremo essere mai «figli dell’Altissimo che è benigno anche verso gli ingrati e i cattivi» (Lc 6,35).
    Se il Cuore di Gesù avesse voluto trattarci come meritiamo, non si sarebbe mai sottoposto a una vita di stenti e di umiliazioni sulla terra; non avrebbe dovuto mai e poi mai bere il calice amaro della nostra Redenzione; tanto meno sarebbe potuto restare in mezzo a noi e per noi nel Sacramento dell’Eucaristia.
    Il Cuore di Gesù, invece, non ha considerato affatto la nostra cattiveria, si è donato tutto, continua a donarsi e si donerà «fino alla fine dei secoli» (Mt 28,20).
    Anzi, Egli arriva a lasciarsi prendere senza resistenze anche per farsi straziare dai sacrileghi, dai traditori, dai nemici dichiarati come i massoni che si procurano le Ostie consacrate per pugnalarle nelle loro infami logge.
    Il Cuore di Gesù è la sorgente inesauribile della misericordia.
    Persino sulla croce, Egli grida col Sangue e con la voce una preghiera di misericordia per i suoi carnefici: «Padre, perdona loro, perché non sanno quello che fanno» (Lc 23,34).
    Egli sa di quanta fragilità e miseria noi siamo impastati, quanto facilmente siamo vittime di noi stessi e delle nostre passioni, quanto bisogno abbiamo di essere saziati «non di solo pane» (Mt 4,4), ma di ciò che nutre per la vita eterna. Perciò il suo Cuore è sempre pronto a ripetere con ansia di misericordia ciò che disse prima della moltiplicazione dei pani: «Ho pietà di questo popolo» (Mt 15,32).
    Perciò Egli ci ha rivelato il suo Cuore e ci ha donato la Grande Promessa, che è un tesoro di misericordia: «Io ti prometto – disse Gesù a santa Margherita – nell’eccesso della misericordia del mio Cuore, che il mio amore onnipotente concederà a tutti quelli che si comunicheranno al primo venerdì del mese, per nove mesi consecutivi, la grazia della perseveranza finale: essi non morranno nella mia disgrazia né senza ricevere i Sacramenti, servendo loro il mio Cuore di asilo sicuro in quell’ora estrema».
    CUORE INVIDIOSO
    L’invidia è il verme roditore che non solo impedisce la misericordia verso chi ha commesso il male, ma vuole distruggere anche il bene che vede nei fratelli.
    «Come l’acqua spegne il fuoco – diceva san Vincenzo de’ Paoli – così l’invidia spegne la carità». E san Basilio paragonava gli invidiosi agli avvoltoi che vanno a cercare e a trovare solo le carogne.
    L’invidia fa rodere dentro. Suscita l’avversione del cuore. Alimenta sentimenti di disprezzo verso l’altro.
    Vorrebbe veder l’altro umiliato e oltraggiato. Fa arrivare fino all’odio e al delitto. San Cipriano scriveva che l’invidia «è il seme di molte scelleratezze».
    Si pensi a Caino, invidioso della rettitudine di Abele, fino al punto di assassinarlo. Si pensi a Giuseppe, venduto a ignoti mercanti dai suoi invidiosi fratelli. Si pensi al re Saul, che tentò di uccidere David, per l’invidia che provava a sentir cantare dalla gioventù ebrea: «Saul ne uccise mille – e David diecimila» (1Sam 18,7).
    Si pensi agli scribi e ai farisei, che invidiavano Gesù per i suoi discorsi e miracoli, e cercavano malvagiamente di sopprimerlo, perché «se lo lasciamo fare, tutti crederanno in lui» (Gv 11,48).
    Tra parenti e conoscenti, tra colleghi e compagni, tra amici ed estranei, quanto spesso il cuore dell’uomo è pieno di invidia per il bene degli altri. Il bene materiale, il bene spirituale, il bene morale: ogni bene può essere oggetto di invidia e nulla sfugge a questa serpe velenosa e strisciante.
    Non per niente gli antichi dipingevano l’invidia sotto forma di una vecchia pallida che mangia carne di serpente e di vipera. Il cuore dell’invidioso è pieno di veleno, capace di rovinare ogni bene del fratello, senza riguardo né ritegno non solo per la misericordia, ma neppure per la giustizia e per l’onestà.
    Diceva bene san Giovanni Crisostomo: «Solo l’invidia non offre alcun vantaggio, nemmeno apparente; in essa tutto è vergogna, dolore, perversità». E anzi, lo stesso san Giovanni Crisostomo arriva a dire che l’invidia è un peccato più che diabolico, perché i demoni invidiano l’uomo, ma non si invidiano tra loro.
    Il Cuore di Gesù ci purifichi con le sue fiamme da questo terribile veleno, liberi il nostro cuore da questo perfido serpente dell’invidia, ci doni la sua dolce misericordia verso tutti.
    Proposito: Fare un atto di carità o di cortesia a una persona che ci ha fatto del male.
    FONTE: Cuore di Gesù, Cuore dell’uomo, P.Stefano M. Manelli, © 2010 Casa Mariana Editrice, 2010.”



    13 giugno
    “LA CONSACRAZIONE DELLA FAMIGLIA
    13° GIORNO
    Pater noster.
    Invocazione. - Cuore di Gesù, Vittima dei peccatori, abbiate pietà di noi!
    Intenzione. - Riparare i peccati della propria famiglia.
    LA CONSACRAZIONE DELLA FAMIGLIA

    Fortunata quella famiglia di Betania, che aveva l'onore di ospitare Gesù! I suoi membri, Marta, Maria e Lazzaro, furono santificati dalla presenza, dai colloqui e dalle benedizioni del Figlio di Dio.
    Se non può aversi la sorte di ospitare Gesù personalmente, almeno lo si faccia regnare nella famiglia, consacrandola solennemente al suo Divin Cuore.
    Consacrandosi la famiglia, dovendosi esporre perennemente l'immagine del Sacro Cuore, si ottiene il compimento della promessa fatta a Santa Margherita: Benedirò i luoghi, dove sarà esposta ed onorata l'immagine del mio Cuore. –
    La consacrazione della famiglia al Cuore di Gesù è tanto raccomandata dai Sommi Pontefici, per i frutti spirituali che apporta:
    benedizione negli affari, conforto nelle pene della vita e misericordiosa assistenza in punto di morte.
    La Consacrazione si fa così:
    Si sceglie un giorno, possibilmente di festa, oppure il Primo Venerdì del mese. In detto giorno tutti i componenti della famiglia facciano la Santa Comunione; però, se qualche traviato non volesse comunicarsi, la Consacrazione potrebbe avere luogo ugualmente.
    S'invitino i parenti ad assistere alla sacra funzione; è bene che s'inviti qualche Sacerdote, quantunque ciò non sia necessario.
    I membri della famiglia, prostrati davanti ad un'immagine del Sacro Cuore, appositamente preparata ed ornata, pronunziano la formula della Consacrazione, la quale può trovarsi in certi libretti di devozione.
    È lodevole chiudere la funzione con una piccola festicciola familiare, per ricordare meglio il giorno della Consacrazione.
    Si consiglia che nelle feste principali, o almeno nel giorno anniversario, venga rinnovato l'atto di Consacrazione.
    Ai novelli sposi si raccomanda vivamente di compiere la solenne Consacrazione nel giorno delle nozze, affinché Gesù benedica generosamente la nuova famiglia.
    Al venerdì non, si lasci mancare davanti all'immagine del Sacro Cuore il lumicino o il mazzetto di fiori. Questo atto di ossequio è gradito a Gesù ed è buon richiamo ai familiari.
    Nei bisogni particolari genitori e figli ricorrano al Sacro Cuore e preghino con fede davanti alla sua immagine.
    La stanza, ove Gesù ha il suo posto d'onore, sia considerata come un piccolo Tempio.
    È bene scrivere alla base dell'immagine del Sacro Cuore una giaculatoria, per ripeterla ogni qual volta si passi davanti ad essa.
    Potrebbe essere: « Cuore di Gesù, benedici questa famiglia! »
    La famiglia consacrata non dimentichi che la vita domestica dev'essere santificata da tutti i membri, prima dai genitori e poi dai figliuoli. Si osservino esattamente i Comandamenti di Dio, aborrendo dalla bestemmia e dal parlare scandaloso ed interessandosi della vera educazione religiosa dei piccoli.
    Gioverebbe poco alla famiglia l'immagine esposta del Sacro Cuore, se in casa regnasse il peccato o l'indifferenza religiosa.
    ESEMPIO
    Un quadro
    L'autore di questo libretto narra un fatto personale:
    Nell'estate del 1936, trovandomi per alcuni giorni in famiglia, esortai un parente a compiere l'atto di Consacrazione.
    Per la brevità del tempo, non si poté preparare un quadro conveniente del Sacro Cuore e, per compiere la funzione, si adoperò un bell'arazzo.
    Gli interessati al mattino si accostarono alla Santa Comunione ed alle ore nove si raccolsero per l'atto solenne. Era presente anche la mia mamma.
    In corta e stola lessi la formula della Consacrazione; alla fine, tenni un discorso religioso, spiegando il significato della funzione. Conclusi così: L'immagine del Sacro Cuore deve avere in questa stanza il posto d'onore. L'arazzo che avete collocato momentaneamente, dev'essere incorniciato ed attaccato alla parete centrale; in tal modo chi entra in questa stanza, subito posa lo sguardo sopra Gesù. –
    Le figliuole della famiglia consacrata erano discordi sul posto da scegliere e quasi si bisticciavano. In quell'istante avvenne un fatto curioso. Sulle pareti stavano diversi quadri; sulla parete centrale campeggiava un quadro di Sant'Anna, che da anni non era stato rimosso. Sebbene questo fosse abbastanza in alto, ben assicurato al muro con grosso chiodo e laccio resistente, si sciolse da sè e spiccò un salto. Avrebbe dovuto frantumarsi a terra; invece andò a posarsi sopra un lettino, abbastanza distante dalla parete.
    I presenti, compreso chi parla, ebbero un fremito e, considerando le circostanze, dissero: Questo fatto non pare naturale! - Realmente quello era il posto più adatto per intronizzare Gesù, e Gesù stesso se lo scelse.
    La mamma mi disse in quell'occasione: Dunque Gesù ha assistito ed ha seguito la nostra funzione?
    Sì, il Sacro Cuore, quando si fa una Consacrazione, è presente e benedice!
    Fioretto. Mandare sovente il proprio Angelo Custode a rendere omaggio a Gesù Sacramentato.
    Giaculatoria. Angioletto mio, vai da Maria E di' che saluti Gesù da parte mia!
    (Tratto dal libretto "Il Sacro Cuore - Mese al Sacro Cuore di Gesù-" del Salesiano Don Giuseppe Tomaselli).”




    http://www.unavoce-ve.it/gueranger.htm






    Luca, Sursum Corda!
    ADDIO GIUSEPPE, amico mio, sono LUCA e nel mio CUORE sarai sempre PRESENTE!
    «Réquiem aetérnam dona ei, Dómine, et lux perpétua lúceat ei. Requiéscat in pace. Amen.»

    SURSUM CORDA - HABEMUS AD DOMINUM!!! A.M.D.G.!!!

  10. #30
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    Lightbulb Re: 13 giugno - S. Antonio da Padova, Dottore della Chiesa

    13 GIUGNO 2018: SANT'ANTONIO DA PADOVA, CONFESSORE E DOTTORE DELLA CHIESA (1195-1231), anniversario della seconda delle sei Apparizioni della Madonna alla Cova da Iria a Fatima; tredicesimo giorno del Mese dedicato al SACRO CUORE DI NOSTRO SIGNORE GESÙ CRISTO…



    «Sant’Antonio di Padova, confessore e dottore, 13 giugno.»
    Dom Prosper Guéranger, L'Anno Liturgico
    http://www.unavoce-ve.it/gueranger.htm



    Tradidi quod et accepi
    http://tradidiaccepi.blogspot.it
    https://www.facebook.com/catholictradition2016/
    «FERIA QUARTA INFRA OCTAVAM SACRATISSIMI CORDIS DOMINI NOSTRI JESU CHRISTI
    (Mercoledì infra l'Ottava del Sacratissimo Cuore del Signore Nostro Gesù Cristo)
    Sancti et Sanctae Dei, orate pro nobis.»
    https://scontent-mxp1-1.xx.fbcdn.net...79&oe=5BC30AF1





    «FERIA QUARTA INFRA OCTAVAM SACRATISSIMI CORDIS DOMINI NOSTRI JESU CHRISTI
    (Mercoledì infra l'Ottava del Sacratissimo Cuore del Signore Nostro Gesù Cristo)
    Semidoppio.
    Paramenti bianchi.
    SANTA MESSA»
    Guéranger, L'anno liturgico - La festa del Sacro Cuore di Gesù
    https://scontent-mxp1-1.xx.fbcdn.net...31&oe=5BAE245D





    «SANT'ANTONIO DA PADOVA
    Confessore e Dottore della Chiesa.»
    https://scontent-mxp1-1.xx.fbcdn.net...62&oe=5BADC91A


    «SANT'ANTONIO DA PADOVA
    Confessore e Dottore della Chiesa.
    Doppio.
    Paramenti bianchi.
    Copatrono della Città di Napoli e del Regno di Napoli.
    Nascita Lisbona, Portogallo, 15 agosto 1195
    Morte Padova, Italia, 13 giugno 1231
    Canonizzazione Spoleto, 30 maggio 1232, da papa Gregorio IX
    Dichiarato Dottore della Chiesa nel 1946 da papa Pio XII
    Santuario principale Basilica di Sant'Antonio, Padova
    Attributi Libro, pesce, giglio candido, Bambin Gesù, pane, fiamma, cuore
    Patrono di Brasile, Portogallo, poveri, oppressi, orfani, prigionieri, naufraghi, bambini malati, vetrai, reclute, donne incinte, affamati, viaggiatori, animali, oggetti smarriti, pescatori, cavalli, marinai, nativi americani, sterilità, fidanzati, matrimonio, vedi patronati
    SANTA MESSA
    Nato a Lisbona da genitori nobili, egli disprezzò tutte le ricchezze (Epistola). Ripieno dello Spirito Santo che trasformò gli Apostoli, entrò nella milizia religiosa per poter lottare per la causa della fede e per esser pronto allorché il Maestro venisse (Vangelo). Ritiratosi dapprima in Toscana, vi si dedicò alla contemplazione divina (Introito), poi ricevette la missione di predicar l'Evangelo. La sapienza della sua dottrina e la sua eloquenza lo fecero chiamare «Arca del Testamento» e «Martello degli eretici». Un anno prima della sua morte, venne a Padova dove, carico di meriti, morì all'età di trentacinque anni, nel 1231, e fu da Gesù preposto in cielo a tutti i suoi beni (Communio).

    * Antonio, nato a Lisbona in Portogallo da genitori, che l'allevarono piamente, adolescente abbracciò la vita dei canonici regolari. Ma nel trasportarsi a Coimbra i corpi dei cinque beati Martiri dei frati Minori, che poco prima avevano sofferto per la fede di Cristo nel Marocco, acceso dal desiderio del martirio passò nell'ordine Francescano. Sotto l'impulso di questa fiamma si diresse subito nei paesi dei Saraceni; ma assalito da una malattia e costretto a rimpatriare su d'una nave che faceva rotta per la Spagna, la violenza dei venti lo spinse in Sicilia.
    Dalla Sicilia andò al capitolo generale di Assisi; e poi si ritirò nell'eremo di monte s. Paolo nell'Emilia, dove attese per molto tempo alla divina contemplazione, al digiuno e alle veglie. Quindi elevato agli ordini sacri e mandato a predicare il Vangelo, colla sapienza e la facondia del dire riportò tali successi e suscitò tanta ammirazione di sé, che il sommo Pontefice, uditolo una volta predicare, lo appellò l'arca del Testamento. Innanzi tutto egli combatté l'eresie con estrema energia, onde fu detto il perpetuo martello degli eretici.
    Primo del suo ordine, in grazia della sua singolare dottrina, insegnò le sacre lettere a Bologna e altrove, e diresse gli studi dei suoi confratelli. Dopo aver percorso molte Provincie, un anno prima di morire giunse a Padova, dove lasciò monumenti insigni di santità. Infine dopo aver sostenuto grandi fatiche per la gloria di Dio, glorioso di meriti e miracoli s'addormentò nel Signore il 13 Giugno dell'anno 1231. Il sommo Pontefice Gregorio IX l'iscrisse nel numero dei santi Confessori.
    - Al Vangelo.
    ** Omelia di sant'Agostino Vescovo.
    Libro 1 sul Sermone del Signore sul monte, cap. 6, tom. 4.
    Il Signore ci mostra doversi giudicare insensati coloro che, cercando l'abbondanza dei beni temporali o temendo d'esserne privati, perdono gli eterni, che gli uomini non possono né dare né togliere. «Ora se il sale diventa insipido, con che si salerà?» (Matth. 5,13). Cioè, se voi, che dovete certo modo condire i popoli, per timore delle persecuzioni temporali, perderete il regno dei cieli: quali saranno gli uomini che potranno ritrarvi dall'errore, dal momento che Dio ha scelto voi per togliere gli altri dall'errore?
    Dunque il sale insipido non serve più «a nulla se non ad essere gettato via pestato dagli uomini» (Matth 5,13). Pertanto non è calpestato dagli uomini chi soffre persecuzione; ma chi istupidisce per timore della persecuzione. Poiché non può essere calpestato se non uno inferiore; ma non è inferiore chi, sebbene patisca molto sulla terra nel corpo, tuttavia col cuore abita in cielo.
    «Voi siete la luce del mondo» (Matth. 5,14). Come più sopra ha detto «il sale della terra» (Matth 5, l13), così ora dice «la luce del mondo». Ora per questa terra, di cui si parla più sopra, non si deve intendere quella che calpestiamo coi nostri piedi corporei; bensì gli uomini che abitano sulla terra, o anche i peccatori, a rialzare i quali col condimento della sapienza e a distruggere le loro perverse inclinazioni, il Signore inviò nel mondo il sale apostolico. E qui mondo si deve intendere non il cielo e la terra, ma gli uomini che sono nel mondo o amano il mondo, e che gli Apostoli hanno la missione d'illuminare. «Non può rimaner nascosta una città situata su un monte» (Matth. 5,14): cioè, fondata sopra un'insigne e grande giustizia, significata anche nello stesso monte, su cui il Signore si trova a parlare.
    ** Omelia di sant'Ilario Vescovo.
    Commentario su Matteo, cap. 5.
    Voi siete il sale della terra. Se il sale diventa insipido, non è buono a nulla quello che si salerà. Ma io credo che non ci sia il sale della terra. In che modo quindi chiamò gli apostoli il sale della terra? Ma va cercata la proprietà delle cose dette, che sarà mostrata sia dal compito degli apostoli, sia dalla natura dello stesso sale. Il sale è in sé come una cosa sola e contiene l'elemento dell'acqua e quello del fuoco, e questo di due è una cosa sola.
    Questo dunque reso efficace in ogni uso del genere umano, impartisce l'incorruttibilità ai corpi su cui sia stato cosparso, ed è dispensatore prontissimo ad ogni senso del sapore intrinseco. Ma gli apostoli sono i predicatori delle cose celesti, e come i seminatori dell'eternità, conferenti l'immortalità a tutti i corpi sui quali sia stato cosparso il loro annuncio. Meritatamente quindi sono chiamati sale della terra, perché conservano i corpi per l'eternità a maniera di una salatura per virtù della dottrina.
    Ma la natura del sale è sempre la stessa, né si può mai mutare. È vero che l'uomo sarà sottoposto alla mutazione e solo è beato chi sarà rimasto fino alla fine in tutte le opere di Dio: pertanto li ammonisce, avendoli chiamati sale della terra, di persistere nella virtù della potenza a loro conferita, per evitare che diventati vani non salino più, ed essi, perso il senso del sapore ricevuto, non possano vivificare i corpi corrotti, e gettati dagli armai della Chiesa, con quelli che avrebbero salato, siano calpestati dai piedi dei passanti.
    ** Sermone di san Giovanni Crisostomo.
    Omelia 15 su Matteo, dopo la metà.
    Fate attenzione a ciò che disse, «Voi siete il sale della terra»: tramite ciò mostra quanto necessariamente insegni queste cose. Non infatti, disse, solo della vostra vita, ma di tutto il mondo dovrete render conto. Non vi mando certo solo a due città, o a dieci, o a venti, come mandavo i profeti: ma ad ogni terra e fino al mare, e a tutto il mondo, e questo è oppresso da vari crimini.
    Dicendo infatti, «Voi siete il sale della terra», mostra che tutta la natura degli uomini è vanificata, e corrotta dalla violenza dei peccati: e quindi richiede da loro quelle virtù, che massimamente sono necessarie ed utili per procurare la salvezza di molti. Infatti chi è mansueto e modesto, e misericordioso e giusto, non rinchiude solo dentro di sé queste cose fatte bene, ma farà defluire queste eccellenti fonti anche all'utilità degli altri. Quindi chi è puro di cuore e pacifico, e sopporta la persecuzione per la verità, nondimeno stabilisce la vita per il bene comune.
    Non pensate quindi, disse, che sarete condotti a facile battaglie, né che dovrete far conto di cose da poco. Voi siete il sale della terra. Cosa allora? Hanno medicato cose putrefatte? Per niente: né infatti è possibile che quelle cose che sono già corrotte siano riparate tramite la frizione del sale. Non fecero perciò questo, ma le cose prima rinnovate, ed a loro affidate, e già liberate da quella putrefazione, aspergevano di sale, e conservavano in quella novità, che avevano preso dal Signore. Certamente liberare dalla putredine del peccato, è proprio del potere di Cristo: ma ché non ritornino di nuovo a questi, è proprio della cura e del lavoro degli Apostoli.
    https://sardiniatridentina.blogspot....ore-e.html?m=1
    Nella Santa Messa di Sant'Antonio da Padova (link precedente), si fa Commemorazione del Sacratissimo Cuore del Signore Nostro Gesù Cristo con l'Oratio, Secreta e Postcommunio della Santa Messa della festa propria (vedasi link seguente).»
    https://sardiniatridentina.blogspot....-gesu.html?m=1
    https://scontent-mxp1-1.xx.fbcdn.net...f9&oe=5BAF7ADB


    “Sancte Antoni Paduane, ora pro nobis.”
    https://scontent-mxp1-1.xx.fbcdn.net...d7&oe=5BABB87B








    Sant'Antonio di Padova - Sodalitium
    http://www.sodalitium.biz/santantonio-di-padova/
    «13 giugno, Sant’Antonio di Padova, Confessore e Dottore della Chiesa (Lisbona, c. 1195 – Padova, 13 giugno 1231), il “martello degli eretici”.
    “A Padova sant’Antonio Portoghese, Sacerdote dell’Ordine dei Minori, Confessore e Dottore della Chiesa, illustre per la vita, pei miracoli e per la predicazione, il quale, non essendo ancora trascorso un anno dalla sua morte, dal Papa Gregorio nono fu ascritto nel numero dei Santi”.

    Indegno per le colpe commesse di comparire davanti a Dio Vengo ai tuoi piedi, amorosissimo Sant’Antonio, per implorare la tua intercessione nella necessità in cui verso. Siimi propizio del tuo possente patrocinio, liberami da ogni male, specie dal peccato, e impetrami la grazia di ……… Caro Santo, sono anch’io nel numero dei tribolati che Dio ha commesso alle tue cure, e alla tua provvidente bontà.Sono certo che anche io per mezzo tuo avrò quanto chiedo e così vedrò calmati i miei dolori, confortate le mie angustie, asciugate le mie lacrime, ritornato alla calma il mio povero cuore. Consolatore dei tribolati non negarmi il conforto della tua intercessione presso Dio. Così sia.»
    http://www.sodalitium.biz/wp-content...va-300x253.jpg







    Sante Messe - Sodalitium
    http://www.sodalitium.biz/sante-messe/

    “Sodalitium - IMBC.”
    https://www.youtube.com/user/sodalitium

    “Omelie dell'I•M•B•C a Ferrara.”
    https://www.facebook.com/OmelieIMBCFerrara/

    Oratorio Sant'Ambrogio ? Milano ? Offertur Oblatio Munda (Malachia 1, 11)
    http://www.oratoriosantambrogiombc.it/




    «Don Floriano Abrahamowicz - Domus Marcel Lefebvre.»
    https://www.youtube.com/user/florianoabrahamowicz/
    http://www.domusmarcellefebvre.it/
    CATECHISMO- PIO X - domusmarcellefebvre110815
    SANTA MESSA - domusmarcellefebvre110815
    http://www.domusmarcellefebvre.it/santa-messa-1.php




    La riparazione al Sacro Cuore - Centro Studi Giuseppe Federici
    http://www.centrostudifederici.org/l...l-sacro-cuore/
    “Enciclica Miserentissimus Redemptor di Pio XI sull’atto di riparazione al Sacratissimo Cuore di Gesù.”
    http://www.centrostudifederici.org/w..._o-300x195.jpg




    https://www.facebook.com/pietroferrari1973/

    “Pascendi Dominici Gregis.”
    https://www.youtube.com/channel/UCo9...SfgXjCViAIOOqg

    https://www.facebook.com/fidecatholica/

    “Non Una Cum - Roman catholics sedevacantists.”

    Il Sedevacantismo
    http://www.cmri.org/ital-sedevac.html

    : Quidlibet : ? A Traditionalist Miscellany — By the Rev. Anthony Cekada
    http://www.fathercekada.com/

    Home | Traditional Latin Mass Resources

    https://novusordowatch.org/

    https://www.truerestoration.org/




    Ligue Saint Amédée
    http://liguesaintamedee.ch/
    https://www.facebook.com/SaintAmedee/?fref=nf
    «Intransigeants sur la doctrine ; charitables dans l'évangélisation [Non Una Cum].»
    13 juin : Saint Antoine de Padoue, Religieux de Saint-François (1195-1231) :: Ligue Saint Amédée
    “13 juin : Saint Antoine de Padoue, Religieux de Saint-François (1195-1231).”
    http://liguesaintamedee.ch/applicati..._de_padoue.jpg





    13 juin 1917 : deuxième apparition de Fatima :: Ligue Saint Amédée
    “13 juin 1917 : deuxième apparition de Fatima.”
    http://liguesaintamedee.ch/applicati...ion_Fatima.jpg





    “13 juin 1929: Notre Dame apparaît à sœur Lucie de Fatima à Tuy.”




    https://www.agerecontra.it/2015/01/i...ante-a-padova/

    «(…) Matteo Castagna ha dichiarato: “Il calendario interreligioso è uno scandalo pubblico che va riparato con la preghiera ma anche con l’azione. Esso offende, col suo messaggio relativista, sia il Cattolicesimo come unica Via per la Salvezza, sia il Santo Patrono di Padova.(…)»
    https://encrypted-tbn2.gstatic.com/i...OwYgDFpTj6BFXE







    www.sursumcorda.cloud
    https://www.facebook.com/CdpSursumCorda/?fref=nf
    «Carlo Di Pietro - Sursum Corda
    Preghiera al Santo del giorno.

    In nómine Patris
    et Fílii
    et Spíritus Sancti.
    Amen.

    Eterno Padre, intendo onorare sant’António Portoghése, Sacerdote dell’Ordine dei Minori, Confessore e Dottore della Chiesa, illustre per la vita, pei miracoli e per la predicazione, il quale, non essendo ancora trascorso un anno dalla sua morte, dal Papa Gregorio nono fu ascritto nel numero dei Santi. Vi rendo grazie per tutte le grazie che Voi gli avete elargito. Vi prego di accrescere la grazia nella mia anima per i meriti di questo santo Confessore e Dottore della Chiesa, ed a lui affido la fine della mia vita tramite questa speciale preghiera, così che per virtù della Vostra bontà e promessa, sant’António Portoghése possa essere mio avvocato e provvedere tutto ciò che è necessario in quell'ora. Così sia.»

    «Carlo Di Pietro - Sursum Corda
    13 giugno, Sant’Antonio di Padova, Confessore e Dottore della Chiesa (Lisbona, c. 1195 – Padova, 13 giugno 1231)
    , il “martello degli eretici”.
    “A Padova sant’Antonio Portoghese, Sacerdote dell’Ordine dei Minori, Confessore e Dottore della Chiesa, illustre per la vita, pei miracoli e per la predicazione, il quale, non essendo ancora trascorso un anno dalla sua morte, dal Papa Gregorio nono fu ascritto nel numero dei Santi”.
    + Indegno per le colpe commesse di comparire davanti a Dio Vengo ai tuoi piedi, amorosissimo Sant’Antonio, per implorare la tua intercessione nella necessità in cui verso. Siimi propizio del tuo possente patrocinio, liberami da ogni male, specie dal peccato, e impetrami la grazia di ……… Caro Santo, sono anch’io nel numero dei tribolati che Dio ha commesso alle tue cure, e alla tua provvidente bontà. Sono certo che anche io per mezzo tuo avrò quanto chiedo e così vedrò calmati i miei dolori, confortate le mie angustie, asciugate le mie lacrime, ritornato alla calma il mio povero cuore. Consolatore dei tribolati non negarmi il conforto della tua intercessione presso Dio. Così sia. +
    Dalla bacheca di don Ugo Carandino.»
    https://scontent-mxp1-1.xx.fbcdn.net...59&oe=5BC052FB





    “Sodalitium IMBC - Fervorino di don Piero Fraschetti a Loreto 2018”
    https://m.youtube.com/watch?feature=...&v=HMLASbYvgK4
    https://scontent-mxp1-1.xx.fbcdn.net...4b&oe=5BAAFBF5







    "Si quæris miracula - Centro Studi Giuseppe Federici"
    Si quæris miracula - Centro Studi Giuseppe Federici
    http://www.centrostudifederici.org/si-quaeris-miracula/
    «Si quæris miracula 13 giugno 2018
    Centro studi Giuseppe Federici – Per una nuova insorgenza
    Si quæris miracula
    Responsorio in onore di Sant’Antonio di Padova

    Si quæris miracula
    mors, error, calamitas,
    dæmon, lepra fugiunt,
    ægri surgunt sani.
    Cedunt mare, vincula,
    membra, resque perditas
    petunt, et accipiunt
    juvenes, et cani.
    Pereunt pericula,
    cessat et necessitas;
    narrent hi, qui sentiunt,
    dicant Paduani.
    Cedunt mare, vincula,
    membra, resque perditas
    petunt, et accipiunt
    juvenes, et cani.
    Glória Patri et Filio et Spíritui Sancto.
    Sicut erat in princípio,
    et nunc et semper
    et in sæcula sæcolorum.
    Cedunt mare, vincula,
    membra, resque perditas
    petunt, et accipiunt
    juvenes, et cani. Amen.
    Ora pro nobis, Beate Antoni, Ut digni efficiamur promissionibus Christi.
    Oremus.
    Ecclesiam tuam, Deus, Beati Antonii Confessoris tui commemoratio votiva lætificet, ut spiritualibus semper muniatur auxiliis et gaudiis perfrui mereatur æternis. Per Christum Dominum nostrum.
    O Lingua benedicta, quæ Dominum semper benedictisti et alios benedicere fecisti: nunc manifeste apparet quanti meriti extitisti apud Deum.


    Se cerchi i miracoli,
    la morte, l'errore, la calamità
    e il demonio sono messi in fuga,
    gli ammalati divenir sani.
    Il mare si calma,
    le catene si spezzano;
    ritrovano le cose perdute
    i giovani ed i vecchi.
    S'allontanano i pericoli,
    scompaiono le necessità;
    lo attesti chi ha sperimentato
    la protezione del Santo di Padova.
    Il mare si calma,
    le catene si spezzano;
    ritrovano le cose perdute
    i giovani ed i vecchi.
    Gloria al Padre e al Figlio e allo Spirito Santo.
    Come era nel principio,
    ora e sempre,
    nei secoli dei secoli.
    Il mare si calma,
    le catene si spezzano;
    ritrovano le cose perdute
    i giovani ed i vecchi. Così sia.
    Prega per noi, o Beato Antonio, perché siam fatti degni delle promesse di Cristo.
    Preghiamo.
    O Dio, la votiva commemorazione del Beato Antonio, Confessore tuo, allieti la tua Chiesa affinchè resti sempre munita di aiuti spirituali e meriti di godere gli eterni gaudi del Cielo. Per Cristo, nostro Signore.
    O Lingua benedetta, che benedicesti sempre il Signore e lo facesti benedire dagli altri, ora chiaro appare di quanto merito sei stata al cospetto di Dio.
    Dal 1866, per volontà di Pio IX, si concede un'indulgenza di 100 giorni a tutti i fedeli che con cuore contrito recitano il presente Responsorio e l'annessa Orazione.»
    Si quæris miracula - Centro Studi Giuseppe Federici





    “Oh come tremano, afferma S. Bernardo, i demoni al sentire solamente proferire il nome di Maria: In nomine Mariae omne genu flectitur; et daemones non solum pertimescunt, sed, audita hac voce, contremiscunt (Serm. sup. Miss.). Conforme gli uomini, soggiunge Tommaso de Kempis, (Lib. 4, ad Nov.) cadono a terra per timore, allorché un tuono dal cielo cade lor vicino, così cadono abbattuti i demoni al sentir nominare Maria: Expavescunt caeli reginam spiritus maligni et diffugiunt, audito nomine eius, velut ab igne. Tamquam tonitruum de caelo factum sit, prosternuntur ad sanctae Mariae vocabulum. Ed oh quante belle vittorie di questi nemici han riportato i divoti di Maria col suo santissimo nome! Così li vinse S. Antonio di Padova, così il B. Enrico Susone, così tanti altri amanti di Maria. Si sa dalle relazioni delle missioni del Giappone che ivi ad un certo cristiano una volta comparvero molti demoni in forma di feroci animali a spaventarlo e minacciarlo; ma egli disse lor così: «Io non ho armi di cui possiate voi temere; se vel permette l'Altissimo, fate di me quel che vi piace. Del resto adopro in mia difesa i dolcissimi nomi di Gesù e di Maria.» Così disse appena, ed ecco che al suono de' tremendi nomi si aprì la terra, e precipitarono quei spiriti superbi. E S. Anselmo attesta per sua esperienza di aver veduto ed inteso molti che al nominare Maria subito sono stati liberati da' pericoli: Saepe vidimus et audivimus plurimos homines in suis periculis nominis recordari Mariae, et illico omnis periculi malum evasisse (S. Ans., de Exc. Virg., c. 6).
    Da S. Alfonso Maria de Liguori
    Glorie di Maria
    Parte prima
    CAPITOLO IV. - Ad te clamamus, exsules filii Hevae.
    § 2. - Quanto è potente Maria in difendere chi l'invoca nelle tentazioni del demonio.”


    Cronologia di Fatima
    http://www.unavox.it/103b.htm
    "CRONOLOGIA DI FATIMA."


    La Seconda Apparizione a cova da Iria
    "13 Giugno 1917 - La seconda delle sei apparizioni della Madonna alla Cova da Iria
    Il 13 giugno 1917, verso le 11, Lucia, Francesco e Giacinta come voluto dalla Madonna, si trovano alla Cova da Iria. La voce si è sparsa e con loro adesso ci sono circa cinquanta persone. Recitano tutti assieme, il S. Rosario.

    Dopo aver recitato il rosario con Giacinta e Francesco, e con le altre persone che erano presenti, scrive Lucia, vidi nuovamente il riflesso della luce che si avvicinava (e che noi chiamavamo lampo) e, poi, la Madonna sul leccio, esattamente come nel mese di maggio.
    - Che cosa volete da me? Le chiesi.
    - Voglio che veniate qui il 13 del mese prossimo, che recitiate il rosario tutti i giorni e che impariate a leggere. Dirò in seguito cosa voglio.
    - Chiesi la guarigione di un malato.
    - Se si convertirà (rispose la Madonna) guarirà nel corso dell’anno - I Cuori di Gesù e di Maria hanno su di voi dei progetti di misericordia.
    - Vorrei chiedervi di condurci in cielo.
    - Sì, Giacinta e Francesco ve li condurrò molto presto, ma tu, ma tu resterai qui ancora per qualche tempo. Gesù vuole servirsi di te per farmi conoscere ed amare. Egli vuole stabilire nel mondo la devozione al mio Cuore Immacolato. A chi praticherà questa devozione io prometto la salvezza, queste anime saranno predilette da Dio, come fiori posti da Me per ornare il suo trono.
    - Resterò qui tutta sola? domandai con tristezza.
    - No, figlia mia! Questo ti fa soffrire molto? Non scoraggiarti! Non ti abbandonerò mai. Il mio Cuore Immacolato sarà il tuo rifugio e la via che ti condurrà fino a Dio.
    Nel momento in cui pronunciava queste ultime parole disgiunse le mani e ci comunicò, per la seconda volta, il riflesso di questa luce immensa.
    In essa noi ci vedemmo come immersi in Dio. Giacinta e Francesco sembravano trovarsi in quella parte di luce che saliva verso il cielo ed io in quella che si diffondeva sulla terra.
    Dinanzi al palmo della mano destra della Madonna cera un cuore circondato di spine che sembravano conficcarsi in esso. Abbiamo capito che si trattava del Cuore Immacolato di Maria, oltraggiato dai peccati della umanità, che chiedeva riparazione."




    13° giorno: Cuore misericordioso - Cuore invidioso
    http://www.stellamatutina.eu/13-gior...ore-invidioso/
    “13° giorno: Cuore misericordioso – Cuore invidioso
    CUORE MISERICORDIOSO
    La parola “misericordioso” significa, letteralmente, «dare il cuore ai miseri» (miseris-cor-dare).

    Quando Gesù ci dice di essere misericordiosi come il Padre dei cieli che fa piovere sui giusti e sugli ingiusti (Mt 5,45), ci chiede appunto di essere buoni e comprensivi di cuore verso coloro che non meriterebbero.
    Si sa che il mondo è teatro di tante cattiverie, ingiustizie, disonestà. La tentazione più immediata che tutti proviamo è quella di colpire i malfattori e i malviventi, trattandoli con la severità che meritano.
    Ma se facciamo così, non potremo essere mai «figli dell’Altissimo che è benigno anche verso gli ingrati e i cattivi» (Lc 6,35).
    Se il Cuore di Gesù avesse voluto trattarci come meritiamo, non si sarebbe mai sottoposto a una vita di stenti e di umiliazioni sulla terra; non avrebbe dovuto mai e poi mai bere il calice amaro della nostra Redenzione; tanto meno sarebbe potuto restare in mezzo a noi e per noi nel Sacramento dell’Eucaristia.
    Il Cuore di Gesù, invece, non ha considerato affatto la nostra cattiveria, si è donato tutto, continua a donarsi e si donerà «fino alla fine dei secoli» (Mt 28,20).
    Anzi, Egli arriva a lasciarsi prendere senza resistenze anche per farsi straziare dai sacrileghi, dai traditori, dai nemici dichiarati come i massoni che si procurano le Ostie consacrate per pugnalarle nelle loro infami logge.
    Il Cuore di Gesù è la sorgente inesauribile della misericordia.
    Persino sulla croce, Egli grida col Sangue e con la voce una preghiera di misericordia per i suoi carnefici: «Padre, perdona loro, perché non sanno quello che fanno» (Lc 23,34).
    Egli sa di quanta fragilità e miseria noi siamo impastati, quanto facilmente siamo vittime di noi stessi e delle nostre passioni, quanto bisogno abbiamo di essere saziati «non di solo pane» (Mt 4,4), ma di ciò che nutre per la vita eterna. Perciò il suo Cuore è sempre pronto a ripetere con ansia di misericordia ciò che disse prima della moltiplicazione dei pani: «Ho pietà di questo popolo» (Mt 15,32).
    Perciò Egli ci ha rivelato il suo Cuore e ci ha donato la Grande Promessa, che è un tesoro di misericordia: «Io ti prometto – disse Gesù a santa Margherita – nell’eccesso della misericordia del mio Cuore, che il mio amore onnipotente concederà a tutti quelli che si comunicheranno al primo venerdì del mese, per nove mesi consecutivi, la grazia della perseveranza finale: essi non morranno nella mia disgrazia né senza ricevere i Sacramenti, servendo loro il mio Cuore di asilo sicuro in quell’ora estrema».
    CUORE INVIDIOSO
    L’invidia è il verme roditore che non solo impedisce la misericordia verso chi ha commesso il male, ma vuole distruggere anche il bene che vede nei fratelli.
    «Come l’acqua spegne il fuoco – diceva san Vincenzo de’ Paoli – così l’invidia spegne la carità». E san Basilio paragonava gli invidiosi agli avvoltoi che vanno a cercare e a trovare solo le carogne.
    L’invidia fa rodere dentro. Suscita l’avversione del cuore. Alimenta sentimenti di disprezzo verso l’altro.
    Vorrebbe veder l’altro umiliato e oltraggiato. Fa arrivare fino all’odio e al delitto. San Cipriano scriveva che l’invidia «è il seme di molte scelleratezze».
    Si pensi a Caino, invidioso della rettitudine di Abele, fino al punto di assassinarlo. Si pensi a Giuseppe, venduto a ignoti mercanti dai suoi invidiosi fratelli. Si pensi al re Saul, che tentò di uccidere David, per l’invidia che provava a sentir cantare dalla gioventù ebrea: «Saul ne uccise mille – e David diecimila» (1Sam 18,7).
    Si pensi agli scribi e ai farisei, che invidiavano Gesù per i suoi discorsi e miracoli, e cercavano malvagiamente di sopprimerlo, perché «se lo lasciamo fare, tutti crederanno in lui» (Gv 11,48).
    Tra parenti e conoscenti, tra colleghi e compagni, tra amici ed estranei, quanto spesso il cuore dell’uomo è pieno di invidia per il bene degli altri. Il bene materiale, il bene spirituale, il bene morale: ogni bene può essere oggetto di invidia e nulla sfugge a questa serpe velenosa e strisciante.
    Non per niente gli antichi dipingevano l’invidia sotto forma di una vecchia pallida che mangia carne di serpente e di vipera. Il cuore dell’invidioso è pieno di veleno, capace di rovinare ogni bene del fratello, senza riguardo né ritegno non solo per la misericordia, ma neppure per la giustizia e per l’onestà.
    Diceva bene san Giovanni Crisostomo: «Solo l’invidia non offre alcun vantaggio, nemmeno apparente; in essa tutto è vergogna, dolore, perversità». E anzi, lo stesso san Giovanni Crisostomo arriva a dire che l’invidia è un peccato più che diabolico, perché i demoni invidiano l’uomo, ma non si invidiano tra loro.
    Il Cuore di Gesù ci purifichi con le sue fiamme da questo terribile veleno, liberi il nostro cuore da questo perfido serpente dell’invidia, ci doni la sua dolce misericordia verso tutti.
    Proposito: Fare un atto di carità o di cortesia a una persona che ci ha fatto del male.
    FONTE: Cuore di Gesù, Cuore dell’uomo, P.Stefano M. Manelli, © 2010 Casa Mariana Editrice, 2010.”



    13 giugno
    http://www.preghiereperlafamiglia.it.../13-giugno.htm
    “LA CONSACRAZIONE DELLA FAMIGLIA
    13° GIORNO
    Pater noster.
    Invocazione. - Cuore di Gesù, Vittima dei peccatori, abbiate pietà di noi!
    Intenzione. - Riparare i peccati della propria famiglia.
    LA CONSACRAZIONE DELLA FAMIGLIA

    Fortunata quella famiglia di Betania, che aveva l'onore di ospitare Gesù! I suoi membri, Marta, Maria e Lazzaro, furono santificati dalla presenza, dai colloqui e dalle benedizioni del Figlio di Dio.
    Se non può aversi la sorte di ospitare Gesù personalmente, almeno lo si faccia regnare nella famiglia, consacrandola solennemente al suo Divin Cuore.
    Consacrandosi la famiglia, dovendosi esporre perennemente l'immagine del Sacro Cuore, si ottiene il compimento della promessa fatta a Santa Margherita: Benedirò i luoghi, dove sarà esposta ed onorata l'immagine del mio Cuore. –
    La consacrazione della famiglia al Cuore di Gesù è tanto raccomandata dai Sommi Pontefici, per i frutti spirituali che apporta:
    benedizione negli affari, conforto nelle pene della vita e misericordiosa assistenza in punto di morte.
    La Consacrazione si fa così:
    Si sceglie un giorno, possibilmente di festa, oppure il Primo Venerdì del mese. In detto giorno tutti i componenti della famiglia facciano la Santa Comunione; però, se qualche traviato non volesse comunicarsi, la Consacrazione potrebbe avere luogo ugualmente.
    S'invitino i parenti ad assistere alla sacra funzione; è bene che s'inviti qualche Sacerdote, quantunque ciò non sia necessario.
    I membri della famiglia, prostrati davanti ad un'immagine del Sacro Cuore, appositamente preparata ed ornata, pronunziano la formula della Consacrazione, la quale può trovarsi in certi libretti di devozione.
    È lodevole chiudere la funzione con una piccola festicciola familiare, per ricordare meglio il giorno della Consacrazione.
    Si consiglia che nelle feste principali, o almeno nel giorno anniversario, venga rinnovato l'atto di Consacrazione.
    Ai novelli sposi si raccomanda vivamente di compiere la solenne Consacrazione nel giorno delle nozze, affinché Gesù benedica generosamente la nuova famiglia.
    Al venerdì non, si lasci mancare davanti all'immagine del Sacro Cuore il lumicino o il mazzetto di fiori. Questo atto di ossequio è gradito a Gesù ed è buon richiamo ai familiari.
    Nei bisogni particolari genitori e figli ricorrano al Sacro Cuore e preghino con fede davanti alla sua immagine.
    La stanza, ove Gesù ha il suo posto d'onore, sia considerata come un piccolo Tempio.
    È bene scrivere alla base dell'immagine del Sacro Cuore una giaculatoria, per ripeterla ogni qual volta si passi davanti ad essa.
    Potrebbe essere: « Cuore di Gesù, benedici questa famiglia! »
    La famiglia consacrata non dimentichi che la vita domestica dev'essere santificata da tutti i membri, prima dai genitori e poi dai figliuoli. Si osservino esattamente i Comandamenti di Dio, aborrendo dalla bestemmia e dal parlare scandaloso ed interessandosi della vera educazione religiosa dei piccoli.
    Gioverebbe poco alla famiglia l'immagine esposta del Sacro Cuore, se in casa regnasse il peccato o l'indifferenza religiosa.
    ESEMPIO
    Un quadro
    L'autore di questo libretto narra un fatto personale:
    Nell'estate del 1936, trovandomi per alcuni giorni in famiglia, esortai un parente a compiere l'atto di Consacrazione.
    Per la brevità del tempo, non si poté preparare un quadro conveniente del Sacro Cuore e, per compiere la funzione, si adoperò un bell'arazzo.
    Gli interessati al mattino si accostarono alla Santa Comunione ed alle ore nove si raccolsero per l'atto solenne. Era presente anche la mia mamma.
    In corta e stola lessi la formula della Consacrazione; alla fine, tenni un discorso religioso, spiegando il significato della funzione. Conclusi così: L'immagine del Sacro Cuore deve avere in questa stanza il posto d'onore. L'arazzo che avete collocato momentaneamente, dev'essere incorniciato ed attaccato alla parete centrale; in tal modo chi entra in questa stanza, subito posa lo sguardo sopra Gesù. –
    Le figliuole della famiglia consacrata erano discordi sul posto da scegliere e quasi si bisticciavano. In quell'istante avvenne un fatto curioso. Sulle pareti stavano diversi quadri; sulla parete centrale campeggiava un quadro di Sant'Anna, che da anni non era stato rimosso. Sebbene questo fosse abbastanza in alto, ben assicurato al muro con grosso chiodo e laccio resistente, si sciolse da sè e spiccò un salto. Avrebbe dovuto frantumarsi a terra; invece andò a posarsi sopra un lettino, abbastanza distante dalla parete.
    I presenti, compreso chi parla, ebbero un fremito e, considerando le circostanze, dissero: Questo fatto non pare naturale! - Realmente quello era il posto più adatto per intronizzare Gesù, e Gesù stesso se lo scelse.
    La mamma mi disse in quell'occasione: Dunque Gesù ha assistito ed ha seguito la nostra funzione?
    Sì, il Sacro Cuore, quando si fa una Consacrazione, è presente e benedice!
    Fioretto. Mandare sovente il proprio Angelo Custode a rendere omaggio a Gesù Sacramentato.
    Giaculatoria. Angioletto mio, vai da Maria E di' che saluti Gesù da parte mia!
    (Tratto dal libretto "Il Sacro Cuore - Mese al Sacro Cuore di Gesù-" del Salesiano Don Giuseppe Tomaselli).”





    Radio Spada | Radio Spada ? Tagliente ma puntuale
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    Edizioni Radio Spada - Home
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    “13 giugno 2018: infra l'Ottava del Sacro Cuore.”
    https://scontent-mxp1-1.xx.fbcdn.net...d1&oe=5BC32214





    “13 giugno 2018: Sant'Antonio da Padova, confessore e dottore della Chiesa.

    Il Santo, che ha vissuto in Italia solo alcuni anni della sua vita conclusasi a Padova, è di origine portoghese. Gli ha infatti dato i natali intorno al 1195 Lisbona, in Portogallo. Antonio era figlio di Martino, nobile che la tradizione vuole della famiglia dei Bulhoes y Taveira de Azevedo - da noi chiamati più semplicemente i Buglioni - che annoverava tra i suoi membri il prode Goffredo, condottiero della prima crociata.
    Quindicenne, Fernando (con tale nome era stato battezzato) entrò fra i canonici regolari di sant'Agostino, a Lisbona prima e poi a Coimbra. Di intelligenza acuta e brillante, in pochi anni riuscì a immagazzinare tanta cultura teologica, scientifica e soprattutto biblica da meritarsi in seguito il titolo di "Arca del testamento". Gli studi non riuscirono però ad appagare le aspirazioni del suo animo generoso. Il giovane canonico trova la sua strada il giorno in cui a Lisbona approdarono le salme, di cinque frati francescani martirizzati nel Marocco. Decise allora di seguirne le orme entrando tra i francescani di Coimbra con il nome di frate Antonio.
    Si era recato in Marocco per coronare la propria vita con il martirio, ma misteriose febbri lo obbligarono a tornare in patria. Durante il viaggio una tempesta lo fece naufragare sulle coste della Sicilia, presso Milazzo. Risalì quindi l'Italia, in compagnia di altri frati, diretti ad Assisi dove si svolgeva il Capitolo generale poi detto "delle stuoie". Era il 1221. Nella cittadina umbra Antonio conobbe Francesco, il quale qualche tempo più avanti, ammirato dalla sua profonda dottrina, lo chiamerà "mio vescovo".
    Ad Assisi il frate portoghese venne destinato al convento-romitorio di Montepaolo, vicino a Forlì, dove rimase per qualche tempo alternando preghiere, lavoro e studio. Una predica improvvisata, in occasione di un'ordinazione sacerdotale (era venuto a mancare il predicatore ufficiale), impose all'attenzione di tutti la profonda cultura, la capacità oratoria, e la ricchezza interiore di frate Antonio. All'indomani, lasciato l'eremo di Montepaolo, il frate era già sulle strade polverose dell'Italia settentrionale e della Francia, missionario itinerante e predicatore, ad annunciare il messaggio evangelico e francescano, contro le labili costruzioni degli eretici che avevano infestato quelle regioni. Nella eretica Rimini, che rifiutava di ascoltare la Parola di Dio, egli andò a predicare ai pesci che lo accolsero sulla riva. In altre città eccolo sfidare gli eretici inducendo una mula, tenuta a digiuno per giorni, ad inginocchiarsi di fronte all'ostia consacrata, mentre alle sue froge giungeva invitante il profumo d'un bel mucchio di biada.
    Tornato in Italia, si stabilì a Padova, dove proseguì la sua attività di Predicatore.
    Celebre un suo quaresimale, tenuto a Padova alcuni mesi prima di morire, e un coraggioso quanto sfortunato incontro con il feroce tiranno Ezzelino da Romano, dal quale era andato a perorare la liberazione di alcuni prigionieri tenuti barbaramente segregati nelle celle del suo palazzo.
    Negli ultimi tempi, spossato dalla fatica e dalla malattia (soffriva per le conseguenze delle febbri malariche) accettò l'invito di un amico, il conte Tiso di Camposampiero, a recarsi nel convento di quella cittadina, immerso nella quiete della campagna, per riposarsi. A Camposampiero, Antonio si era fatto costruire dall'amico conte tra i rami fronzuti di un noce una piccola cella, dove si ritirava a pregare. Ma quella solitudine fu infranta dagli ammiratori che, scoperto il nascondiglio segreto, si recavano in massa a chiedergli il conforto della parola.
    Nella tarda primavera del 1231, Antonio fu colto da malore. Deposto su un carro trainato da buoi, venne trasportato a Padova, dove aveva chiesto di poter morire. Giunto però all'Arcella, un borgo della periferia della città, la morte lo colse. Spirò mormorando: "Vedo il mio Signore". Era il 13 giugno. Aveva 36 anni.
    Il Santo venne sepolto a Padova, nella chiesetta di santa Maria Mater Domini, il rifugio spirituale del Santo nei periodi di intensa attività apostolica. Un anno dopo la morte, la fama dei tanti prodigi compiuti convinse Gregorio IX a bruciare le tappe del processo canonico e a proclamarlo santo. La Chiesa ha reso giustizia alla sua dottrina, proclamandolo nel 1946 di «dottore della chiesa universale».”
    https://scontent-mxp1-1.xx.fbcdn.net...14&oe=5BC27E07






    “il 13 giugno 1799 il cardinale Ruffo, con l'armata della Santa Fede, entra in Napoli, liberandola dalla repubblica giacobina.”
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    "CLERICUS ET MILES
    S.E.R. Fabrizio Ruffo, Cardinale Diacono di Santa Romana Chiesa, Liberatore di Napoli dalla tirannide giacobina."
    https://www.radiospada.org/2018/04/v...abrizio-ruffo/
    https://www.radiospada.org/2018/04/v...abrizio-ruffo/
    "[VITA EST MILITIA] Cardinale Fabrizio Ruffo
    Cardinale Fabrizio Ruffo

    Fabrizio Ruffo nacque nel 1744 nell’avito castello calabrese di San Lucido dalla famiglia dei Duchi di Baranello e Bagnara, ramo collaterale dei Principi Ruffo. Venne subito avviato alla carriera ecclesiastica ed affidato allo zio Cardinal Tommaso Ruffo, che l’affiancò al suo segretario Giovanni Braschi, il futuro Pio vi, di cui il Nostro divenne subito grande amico e che, salito al Soglio, lo fece Tesoriere generale della Camera Apostolica; costretto a deporlo dall’incarico per via delle lamentele dei feudatarj che videro messi in pericolo i loro privilegi dalla sua amministrazione, Papa Braschi gli assegnò in cambio la Porpora cardinalizia (1794). Trasferitosi a Napoli alla Corte di Ferdinando iv, all’arrivo dei francesi il Cardinal Ruffo seguì il suo Re nella fuga palermitana del 1798; ma, nominato da Ferdinando Luogotentente generale, l’anno successivo pianificò e guidò, anche grazie all’appoggio inglese, la spedizione che doveva portare l’Esercito della Santa Fede a riprendere il Mezzogiorno d’Italia e sciogliere l’abusiva Repubblica Partenopea: erano 25.000 uomini, dai militari borbonici ai popolani ai semplici briganti – tra cui il celebre Fra Diavolo – chi difensore della Fede, chi della Patria. Il 13 giugno il Cardinale riuscì a prendere Napoli e a restaurare la legittima Monarchia: ma le sue promesse d’amnistia non furono rispettate dal Re e da Horatio Nelson, che massacrarono i ribelli senza pietà ed iniziarono una lunga sequela d’esecuzioni. Profondamente amareggiato, decise, date le dimissioni da Vicario generale del Regno di Napoli, di ritornare a Roma, la cui Repubblica aveva contribuito a far cadere inviando un contingente del suo esercito. Schiacciato dal rigurgito rivoluzionario che seguì, tornò infine presso Re Ferdinando, che lo fece ambasciatore a Parigi; dopo essere stato mediatore tra il Corso ed il prigioniero Pio vii, continuò a servire il Papa e Re Ferdinando in varj incarichi istituzionali. Ritiratosi a Napoli, la morte lo colse assorto nei suoi studj nel 1827."
    https://i2.wp.com/www.radiospada.org...pg?w=480&ssl=1








    “SANT'ANTONIO DI PADOVA.”
    https://scontent-mxp1-1.xx.fbcdn.net...0a&oe=5B77FBBB






    https://i.ebayimg.com/images/i/40066...-1/s-l1000.jpg








    SANCTE ANTONI ORA PRO NOBIS!!!
    COR JESU ADVENIAT REGNUM TUUM - ADVENIAT PER MARIAM!!!
    COR JESU SACRATISSIMUM, MISERERE NOBIS!!!
    Sia lode, onore e gloria al Divin Cuore di Gesù!!!
    Luca, Sursum Corda - Habemus Ad Dominum!!!
    ADDIO GIUSEPPE, amico mio, sono LUCA e nel mio CUORE sarai sempre PRESENTE!
    «Réquiem aetérnam dona ei, Dómine, et lux perpétua lúceat ei. Requiéscat in pace. Amen.»

    SURSUM CORDA - HABEMUS AD DOMINUM!!! A.M.D.G.!!!

 

 
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