Si le critiche di una fonte anonima... "accuse un diplomate, d'autant plus critique qu'il ne parle que sous condition d'anonymat"In Origine Postato da frontista
«vigorosamente contestato a Bruxelles»
Traducetemi anche questi pezzettini per cortesia... E vedete che viene fuori un quadro ben piu' equilibrato... Con successi raggiunti nonostante varie difficolta' sia iniziali che successive, vari egoismi nazionali ed antipatie politiche... anche se con atteggiamenti criticabili... E non postate solo i pezzettini che vi piacciono...
Sous sa présidence, l'Europe a accompli de grandes choses : l'euro est devenu la monnaie quotidienne de 300 millions de citoyens ; le continent s'est unifié en accueillant les anciens pays du bloc communiste ; enfin, l'Union devrait se doter cette semaine d'une Constitution. Le président de la Commission européenne, l'Italien Romano Prodi peut être d'autant plus satisfait qu'il est en passe de réussir sa sortie. Il n'a pas subi de camouflet électoral lors des élections européennes et est fin prêt à affronter son rival Silvio Berlusconi. Surtout, il voit avec jubilation les candidats se bousculer alors que les chefs d'Etat et de gouvernement doivent lui trouver cette semaine un successeur.
La tâche était des plus délicates, font valoir les défenseurs de M. Prodi. Lorsqu'il arrive à Bruxelles en 1999, la Commission est en déliquescence. L'équipe sortante du Luxembourgeois Jacques Santer a été acculée par le Parlement à la démission en raison d'accusations de népotisme et de la désorganisation héritée des années Delors. L'institution bataille avec les députés de Strasbourg : la majorité sortie des urnes en 1999 est à droite. Les chrétiens-démocrates allemands remportent alors une victoire historique, mais Gerhard Schröder refuse de nommer l'un des leurs à la Commission. Ils le feront payer à M. Prodi, homme de centre gauche, durant toute la législature.
A l'intérieur du collège des commissaires, il divise pour mieux régner. Il envoie ses collègues loger aux quatre coins de Bruxelles dans leurs directions générales respectives. En contrepartie, ceux-ci ont carte blanche pour gérer leurs dossiers techniques, qui avancent bien. L'Autrichien Franz Fischler réforme la politique agricole et la pêche ; l'Espagnole Loyola de Palacio libéralise les transports et l'énergie ; le Néerlandais Frits Bolkestein poursuit la réalisation du marché intérieur tandis que le Portugais Antonio Vitorino crée le mandat d'arrêt européen après le 11 septembre.