I sinistri adorano tutti questi organi sovranazionali non eletti direttamente dai cittadini.
Tra l'altro l'esempio della democratica Svizzera serve a far serpeggiare in tutta l'Europa confinante la voglia di referendum da parte dei cittadini: da nord a sud e da est a ovest la gente si chiede "perchè non possiamo decidere anche noi su tutto con referendum come fanno gli svizzeri?".....una bella gatta da pelare per i governanti di tutta Europa, con questo fastidioso esempio di democrazia tra i piedi che travia i loro docili sudditi....non per niente Treconti ha dichiarato che in Svizzera lui "manderebbe l'esercito" .
Gladstone: " Se il popolo d'Inghilterra avesse dovuto attendere le libertà dal ricorso ai mezzi legali, esso le aspetterebbe ancora"
--quanche pennivendolo scrive che i sondaggi sono stati smentiti dai risultati e se ne meraviglia?
--Attenzione elettori non dovete mai smentire i sondaggi di chi vuole espropriarvi della vostra libertà di giudizio ,perchè ne va della vostra libertà e calpestate la vostra democrazia!"
la Svizzera è spesso malvista perchè è l'unico esempio di vera democrazia, dove il popolo può decidere (addirittura anche in campo fiscale ed economico)
questo non piace ai potentati economici, ai mafiosi, ai politici e a chi utilizza le istituzioni per mantenersi o fare affari
Esatto: quel piccolo paese democratico proprio al centro dell'Europa è un vero affronto per loro ...non solo con le sue basse tasse fa "concorrenza sleale" ai poveri paesi europei confinanti, ma è anche di cattivo esempio per i loro sudditi cui non fa che mettere strani grilli in testa su referendum e democrazia diretta.
God bless Switzerland
Gladstone: " Se il popolo d'Inghilterra avesse dovuto attendere le libertà dal ricorso ai mezzi legali, esso le aspetterebbe ancora"
dal sito di le Figaro fr. di oggi
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Minarets : un débat qui pourrait concerner la France
Cécilia Gabizon
30/11/2009 | Mise à jour : 07:06 | Commentaires 576 | Ajouter à ma sélection
Minaret de la mosquée de Genève.
La France compte à ce jour dix minarets qui coiffent des mosquées «cathédrales».
Le référendum suisse pourrait bien rebondir en France. Le secrétaire général de l'UMP, Xavier Bertrand, a estimé dimanche, qu'il n'était «pas certain que l'on ait forcément besoin de minarets» pour pratiquer l'islam. De son côté, Marine Le Pen a demandé aux «élites de cesser de nier les aspirations et les craintes des peuples européens».
À ce jour, la France compte moins de dix minarets. Tous coiffent des mosquées dites «cathédrales». Jusqu'à présent, cette tour, qui sert à lancer l'appel à la prière en terre musulmane, ne faisait guère débat. Le minaret, muet ici, semblait perçu comme un ornement, plus qu'une bannière. La tour blanchie à la chaux de la grande mosquée de Paris grimpe à 30 mètres, sans susciter l'émoi. Tandis qu'à Créteil, elle atteint 25 mètres. À Strasbourg, le minaret est oublié pour l'instant, faute de moyens. Mais «si la communauté le souhaite, elle aura son minaret», s'est engagé Roland Ries, le député maire PS, le 27 novembre. Tandis que la future grande mosquée de Marseille a prévu le sien.
Rayon lumineux
Jusqu'à présent, la fronde antimosquée portait plutôt sur les «entorses à la laïcité». À Montreuil comme à Marseille, certains ont accusé la municipalité de financer indûment les projets de mosquée «à travers le système de baux emphytéotique». Les juges ont généralement confirmé qu'un loyer trop peu élevé pouvait s'apparenter à la subvention d'un culte.
Plus récemment, des groupes «identitaires» qui redoutent «l'islamisation» sont entrés dans la bataille. Mais l'action en justice est complexe. Certains maires hostiles à la présence d'une mosquée dans leur ville ont vu leurs arguments retoqués. Le Conseil d'État a par exemple jugé que «la construction d'une mosquée dans une zone résidentielle» ne portait pas atteinte à sa tranquillité. À Bordeaux, le bloc identitaire s'est rabattu sur des actions médiatiques pour contester le projet soutenu par le maire UMP Alain Juppé. En janvier dernier, ils ont réveillé les habitants du quartier au son d'un muezzin enregistré. «Ici, dans quelques mois, tous les matins, semaine, dimanche et jours fériés, le doux chant du muezzin sonnera l'heure de se réveiller…», pouvait-on lire sur leurs tracts. L'imam de Bordeaux, Tareq Oubrou, avait alors rectifié : «En France cet appel ne se fait qu'à l'intérieur du bâtiment. Le minaret n'est pas une obligation religieuse et le projet de mosquée à Bordeaux n'en prévoit pas.» De fait, cette invention ne date pas de Mahomet mais remonte de la fin du premier siècle de l'Hégire. Marseille, elle, a prévu un rayon lumineux pour signaler les heures de prières.
«Personne ne réclame le muezzin», assure-t-on au ministère de l'Intérieur. Il serait de toute façon «soumis au pouvoir du maire, comme pour les cloches». L'édile doit «apprécier la nuisance sonore et prendre les mesures nécessaires pour assurer la tranquillité publique de sa commune», selon le Code des collectivités . Enfin, les mosquées cathédrales restent l'exception, rappelle le bureau des cultes. Qui préfère insister sur «la nouvelle tendance : les quelque 200 projets de mosquées communales, de type pavillon, sans minaret». Un modèle jugé «plus pragmatique». Financièrement, comme politiquement.
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» Les Suisses votent l'interdiction des minarets
In Svizzera avrebbe dovuto vincere il permesso di costruire i minareti. .
Ma in questi ultimi due anni si è iniziata l'operazione di distruggere la Svizzera che impedisce all'Europa essere una unità integra con una sola moneta.
Ed allora attacchi di vario genere compresa anche l'italia che ha partecipato a promuovere lo scudo fiscale.
Gli Svizzeri sono brava gente , ma non bisogna toccarli nei soldi.
Così la popolazione che è di natura genetica contro le invasioni , come tutte le popolazioni sane, non è stata ostacolata da una becera propaganda dei poteri forti.
La Svizzera con questo voto ha creato un precedente senza uguali.
Diventando un faro per coloro che vogliono difendersi dall'invasione.
Nell'Europa serpeggia la paura che diventi un simbolo.
Guai se lo diventa.
La baracca va male.
Questo succede quando si toccano i popoli alpini non imbastarditi.
Se qualcuno attacca la Svizzera io ci vado e mi faccio dare un fucile.
L'occasione fa l'uomo italiano