Un sito francese ha riportato un discorso del Metropolita Kirill di Smolensk, capo del Dipartimento esteri del Patriarcato di Mosca che mi è sembrato semplicemente orribile in bocca ad un Vescovo della Chiesa. Sembra che l'interesse della Chiesa non sia principalmente quello di conservare la fede ortodossa ma la "russicità".
E' evidente che - quando un prelato anzichè preoccuparsi della "Chiesa Cattolica ed Apostolica" si preoccupa di tematiche nazionalistiche si pone automaticamente al di fuori dello spirito Cristiano, per il qualòe Paolo si fa Greco coi Greci e Giudeo coi Giudei... per guadagnare tutti a Cristo.
Certo questo si associa bene col discorso assurdo del "territorio canonico" del patriarcatto Russo anche di fronte a Choiese eterodosse come la cattolica Romana.
Il padre beato Justin Popovic aveva certo ragione rimproverando il filetismo come il gravissimo peccato dell'Ortodossia. certo egli amava il popolo Serbo e ne è stata la voce e la coscienza ecclesiale ma sapeva ben distinguere (cosa che Cirillo non sa fare) la Chiesa dalla naziome: la prima universale e cattolica, la seconda necessariamente limitata e parziale.
Recentemente il p. .............ed i suoi figli spirituali mi rimproverava perchè avevo parlato di russificazione ed egli mi opponeva la recente "accoglienza" di clero Italiano (senza andare tanto per il sottile quanto a "qualità"). Ebbene, se p. ........ riflettesse con maggiore acutezza sui gesti del suo patriarcato si renderebbe conto che invece quei gesti sono nella stessa linea della russificazione. E' infatti necessario fermare tutte quelle Chiese ortodosse che si oppongono alla politica del Patriarcato o che - comunque - la disturbano. Dopo il cedimento della Chiesa Russa fuori frontiera noi siamo divenuti il centro dell'opposizione alle politiche delle Chiese così dette "ufficiali" che si autodefiniscono "canoniche". Per questo hanno tentato di rompere la nostra comunione inviando messi alla Chiesa Romena di Vecchio stile ed all'analoga Chiesa Bulgara per separarla dale dalla nostra Comunione. A quelle lusinghe i nostri fratelli hanno risposto sottoscrivendo con noi un documento ufficiale e consinodale che riafferma la nostra comune linea ecclesiale.
Ma a parte tutto questo il testo parla da se a chi ha orecchie per intendere. E' evidente chi, come il padre ........ e figli, a certi discorsi è sordo, certamente non sentirà.
Ecco il testo :
Relations entre l’Eglise orthodoxe russe et la diaspora russe
Dans son intervention devant le Congrès mondial des compatriotes résidant à l’étranger le 24 octobre, à Saint-Pétersbourg, le métropolite Cyrille de Smolensk et de Kaliningrad, président du Département des relations extérieures du Patriarcat de Moscou (DREE), a notamment abordé la question des relations de l’Eglise orthodoxe de Russie avec la diaspora russe. Voici la traduction en français d’extraits de son discours :
(…) Nous devons aujourd’hui réfléchir encore au sujet d’un problème important : le danger d’une assimilation de la diaspora russe. En développant ce thème, je voudrais avant tout remercier nos arrières grands-parents et nos grands-parents, représentants de la première vague d’émigration, qui se sont retrouvés dans différents pays du monde et sont restés fidèles aux valeurs dans lesquelles ils ont été élevés. Ils ont sur transmettre cette fidélité à leurs descendants. Il est étonnant de voir que leurs enfants et leurs petits-enfants parlent le russe, s’intéressent à la littérature russe, fréquentent les églises orthodoxes, alors qu’ils ont passé la vie hors de la Russie. Face à eux, les descendants de la troisième vague sont souvent fiers de leur accent étranger et parfois tentent de se débarrasser complètement de tout lien avec la culture russe. Si nous allons de cette façon perdre les gens de culture russe, nous serons privés d’une population de quelques millions de personnes. La solution ne consiste pas à fermer les frontières pour interdire aux citoyens russes d’aller à l’étranger, ni à ramener le plus possible de compatriotes au pays. La Russie est aujourd’hui un pays ouvert. Cela signifie que chacun peut choisir le lieu de sa résidence, et on ne peut faire obstacle à cela. Mais pour que les personnes originaires des Etats de la Russie historique continuent à faire partie du monde russe, il est indispensable d’employer tous les efforts pour qu’ils conservent leur foi, un même système de valeurs, une même vision de l’histoire, une langue commune Alors nous ne perdrons pas à nouveau des millions de nos concitoyens. Par exemple, l’existence d’une grande diaspora nationale n’effraie absolument pas les Chinois. Au contraire, le pays y gagne. Le flux d’investissement internationaux vers la Chine qu’on observe aujourd’hui est lié au désir de la diaspora chinoise d’investir dans sa patrie.
Pour que la culture russe devienne de nouveau attractive et pour contrecarrer l’assimilation de la diaspora russe, des efforts conjoints de l’Etat, des associations et des communautés religieuses ainsi que de chaque compatriote individuellement sont indispensables. (…)
Pour l’instant, les orthodoxes russes à l’étranger sont encore désunis. Ce sont les conséquences des événements de notre histoire récente. Le Patriarcat de Moscou et l’Eglise russe hors-frontières ont entrepris il y a quelques années un processus complexe de négociation visant à rétablir la communion et rétablir l’unité de l’Eglise locale de Russie. Avec l’aide de Dieu et la prière des saints russes nous sommes proches du moment où nous pourrons louer le Seigneur « d’une seule bouche et d’un seul cœur ». (…)