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Dragonball (POL)
06-03-02, 00:00
L'Italie malade de sa famille, par Henri Mendras
• LE MONDE | 18.02.02 | 13h22 | analyse
• MIS A JOUR LE 18.02.02 | 13h34

Une dénatalité accentuée sévit en Italie | AFP
D'inquétants symptômes s'accumulent sur l'Italie. L'élection de Berlusconi est le signe d'une dégradation ultime de la démocratie : la confusion des pouvoirs économique, d'opinion et politique trouble le jeu des institutions. Les difficultés de Fiat annoncent-elles une fêlure dans l'économie du nord de l'Italie ?

Mais le symptôme le plus grave et le moins souvent analysé est démographique : une dénatalité accentuée. Que l'Italie du Nord, aujourd'hui si opulente, ait le taux de fécondité le plus bas d'Europe est alarmant : moins de 1 enfant par femme en moyenne.Dice,per chi non capisse un po' il francese,che l'Italia del nord ha una natalita' di meno di 1 bambino per femmina A ce rythme, les démographes prévoient une baisse de la population totale de 60 millions à 40 millions d'ici 2050. Aucun peuple ne peut supporter pareil traumatisme. Et l'équilibre général de l'Europe en serait ébranlé.

Jusqu'à présent, la forte natalité du Mezzogiorno compensait la faible natalité du Nord et la migration Sud-Nord assurait le maintien de l'équilibre. Depuis quelques années, la fécondité a brusquement cédé dans les provinces du Sud : 1,3 enfant par femme en 2000.

Les Italiens n'ont pas l'air de prendre au sérieux le danger qui les menace. Sans doute parce que, depuis un siècle, la surpopulation a nourri une forte émigration qui a peuplé les deux Amériques et la France. Ils ne peuvent concevoir un tel retournement.

Le pourquoi d'une faible ou d'une forte natalité reste sans réponse. Démographes et sociologues donnent leur langue au chat. Dans le cas de l'Italie, il semble bien que ce soit la structure particulière de la famille italienne qu'il faille mettre en cause. Or la famille a une importance particulière en Italie, où les petites entreprises familiales sont particulièrement nombreuses et prospères.

Le modèle familial, abondamment décrit par les sociologues italiens, peut se schématiser, ou même se caricaturer, en quelques traits. La mamma assure à son foyer un service domestique de haute qualité : la pasta succulente, le logement cossu et briqué tous les jours, la chemise fraîche repassée tous les soirs pour que les jeunes soient fringants. Luxes qui rendent d'autant plus difficile la vie de la mère qui a un emploi.

De son côté, le père travaille dur pour financer ces luxes : il a très souvent deux emplois, notamment dans le Sud. Les enfants adultes vivent "aux crochets" de leurs parents, jusqu'à 30 ans passés : filles et garçons vivent au foyer parental et ne contribuent généralement pas aux frais domestiques. S'ils ont un emploi ou un petit boulot, ce qu'ils gagnent leur sert d'argent de poche. Vivre chez les parents n'empêche pas d'avoir une liaison stable (plus ou moins), car les parents laissent aux garçons, comme aux filles, une autonomie complète.

Deux chiffres traduisent cette étrange vie de famille. Les jeunes hommes quittent le foyer parental à 27 ans en moyenne, alors qu'au Danemark ils le quittent à 20 ans.

voir séquence

Analyses et forums





Et cette tendance se renforce : entre 1990 et 1998, la part des 25-29 ans domiciliés chez leurs parents est passée de 40 % à 60 % et celle des jeunes hommes de 30 ans à 34 ans qui n'ont pas encore quitté le domicile parental a augmenté de 18 % à 30 %. En France, à ces mêmes dates, la part des 25-29 ans vivant encore chez leurs parents est passée de 18 % à 21 %.

Second chiffre caractéristique : le taux des naissances hors mariage est le plus faible d'Europe occidentale avec la Suisse (8,3 %), alors qu'il est de près de 40 % en France et près de 50 % au Danemark. En moyenne, les filles se marient à 28 ans et ont leur premier enfant à 29 ans. Autrement dit, l'Italie est, avec l'Espagne, le seul pays d'Europe où le mariage demeure le préalable à la procréation.

Les jeunes se marient de plus en plus tard et attendent d'avoir des emplois stables et lucratifs, et d'être confortablement installés, pour avoir un enfant. De plus, ils ont connu d'expérience la charge que représente un enfant si on veut qu'il soit élevé comme ils l'ont été eux-mêmes : dans leur esprit, cette surévaluation de l'enfant a entraîné l'esclavage de leurs parents, et les jeunes ne sont pas prêts à s'y soumettre. Pas question d'avoir un enfant sans être marié. Dans les classes moyennes, la première naissance est souvent retardée de cinq ou six ans après le mariage. Ce retard de la première naissance diminue considérablement les chances d'en avoir une seconde.

Les garçons ont "la bonne vie" et attendent donc que leur épouse reprenne le rôle de leur mère et les entoure de soins prévenants. Malheureusement, ils seront cruellement déçus, parce que les filles refusent de reproduire le modèle maternel et de se dépenser sans compter pour assurer le service domestique de haute qualité auquel leurs époux ont été habitués. Elles ont d'autres aspirations, fréquentent l'école de plus en plus longtemps. Au Nord, elles se portent plus nombreuses sur le marché du travail. Par contraste, au Sud, la situation des jeunes femmes est alarmante. En 2000, leur taux d'emploi occupé était de 9,9 % pour les 15-24 ans (contre 36 % au Nord) et 26,5 % pour les 25-34 ans (contre 70,9 % au Nord). Et les taux de chômage global sont de 20 % au Sud et de 5 % au Nord.

Depuis cinquante ans, on attend le décollage économique du Mezzogiorno, en vain : toutes les aides ne servent qu'à renforcer les structures traditionnelles. Il semble bien que l'esprit d'entreprise, la structure familiale et les institutions locales qui ont fait le succès de la Troisième Italie fassent toujours défaut dans le Sud. La comparaison avec l'Andalousie est accablante. Dans le Nord, l'économie est en manque de main-d'œuvre puisque le chômage y est l'un des plus bas d'Europe. Les jeunes hommes cessent plus tôt leurs études puisqu'ils trouvent aisément un emploi bien rémunéré et qu'ils vivent chez leurs parents.

Une immigration massive paraît donc, à court terme, la seule solution possible. Encore faut-il préciser quel genre d'emplois ces immigrés peuvent exercer. D'un côté, l'industrie n'a plus besoin de manœuvres, mais de techniciens et d'ingénieurs de plus ou moins haut niveau ; de l'autre, le secteur tertiaire d'employés de niveau baccalauréat au minimum. Les petites entreprises commencent à former ces techniciens ; en revanche les grandes manqueront d'ingénieurs. Visiblement les Albanais d'Albanie et du Kosovo, qui sont prêts à traverser l'Adriatique, répondent mal à ces exigences.

Les femmes constituent le seul réservoir de main-d'œuvre diplômée disponible. Le taux d'emploi des femmes s'est élevé dans les années récentes jusqu'à atteindre la moyenne européenne (55 %). Mais si les femmes de l'Italie du Nord se mettent à avoir un emploi, le genre de vie familial fondé sur la mamma ne pourra se perpétuer. Peut-être, alors, les Italiennes se remettront-elles à avoir des enfants, sauvant ainsi le pays du suicide collectif.

L'Etat-providence est aussi responsable de cette situation. Pour pouvoir se mettre en ménage, les jeunes doivent trouver facilement des logements bon marché et donc petits ; or le marché du logement locatif est très étroit et l'Etat-providence ne fournit pas d'aide au logement : seulement 20 % des ménages sont locataires dans le secteur privé.

La condition de la femme doit être modifiée de fond en comble. Dans nos sociétés, il faut que les femmes aient très jeunes un emploi si l'on veut qu'elles aient plusieurs enfants. Le mariage ne doit plus être la condition de la procréation. Il faut pousser les femmes à entrer massivement sur le marché de l'emploi, et pour cela les décharger des tâches parentales et éducatives. Il faut donc que l'Etat-providence prenne le relais de la famille traditionnelle par des aides au logement des jeunes ménages, des privilèges aux mères célibataires, en créant des crèches, des écoles maternelles et des garderies de toute sorte, des congés parentaux... Enfin, le mariage tardif étant un frein à la natalité, il faudrait que le mariage ne soit plus le préalable obligé à la naissance d'un enfant, comme ailleurs en Europe. La structure familiale doit éclater : la mamma doit mettre dehors ses enfants le plus tôt possible.

Cette véritable révolution culturelle s'impose et va sans doute se produire si les jeunes femmes refusent de reprendre le rôle et les fonctions de leur mère. C'est le seul espoir pour que l'Italie échappe au suicide qui la menace. Cependant, cette révolution idéologique, culturelle et familiale ne doit pas mettre en péril la civilisation italienne. Pour les amis de l'Italie et pour le monde entier, ce serait une perte irréparable et catastrophique.

Henri Mendras est sociologue.


Ora,meno di 1 bambino per femmina(ma anche al Sud non stanno meglio con 1,3 per femmina) e' il TASSO + BASSO AL MONDO!E questi sono DATI,non fantasie.
A costo di sembrare nazista,insisto perche' la natalita' sia messa IMMEDIATAMENTE AL CENTRO DELL'ATTENZIONE,e con questo non intendo un richiamo alla religiosita' riguardo la famiglia naturale o non naturale:no,qui e' proprio un problema di natalita' pura,di numeri.
Ora,secondo voi,ha senso la secessione di una futura Padania senza padani?Ma non nel senso che i padani non ci saranno,tutt'altro!Ci saranno ancora,e magari di +,ma NON saranno i padani di oggi: saranno padani strani: padani marocchini,albanesi,senegalesi,filippini,cinesi.In somma NON saranno padani padani:non saranno padani bianchi.
Gia' e lo dico senza il timore di apparire razzista,perche' diciamoci la verita':la caratteristica dei padani di oggi e' INDISCUTIBILMENTE quella di essere bianchi e di essere cresciuti attraverso le tradizioni proprie della Padania.I "padani" di domani faranno e potranno essere lo stesso???Lo dubito fortemente visto che talvolta sanno a malapena la lingua.
Ora,il DATO DI FATTO,e' che ormai in tutti i continenti,i bianchi stanno ritirandosi velocemente sotto la spinta di 2 fattori:
1)L'immigrazione legale e illegale
2)La fortissima denaltalita'

Detto questo,o questo governo inizia REALMENTE e IMMEDIATAMENTE a dare GRANDISSIMI incentivi fiscali attraverso forti sgravi fiscali in proporzione del numero figli concepiti(ovviamente deve valere solo per i padani bianchi) e a dare quasi gratis una casa decente a TUTTE le coppie(non mi interessa se sposate in chiesa,al comune,al supermercato o se non sposate) che intendano procreare,o per la "nostra" Padania bianca e' davvero LA FINE.
Guardate,puo' sembrare un discorso nazi-fascista,ma stavolta i NUMERI sono PAZZESCHI(e pure il giornale francese LeMonde se n'e' accorto):bisogna agire SUBITO!
Spingere fortissimamente sulla natalita' e sul blocco totale dell'immigrazione DEVONO essere NECESSARIAMENTE la priorita' di questo governo.
Questo non e' razzismo,ma auto-difesa...istinto di sopravvivenza.

Saluti da un padano in via d'estinzione :(

Totila
06-03-02, 00:09
Originally posted by Dragonball
L'Italie malade de sa famille, par Henri Mendras
• LE MONDE | 18.02.02 | 13h22 | analyse
• MIS A JOUR LE 18.02.02 | 13h34

Une dénatalité accentuée sévit en Italie | AFP
D'inquétants symptômes s'accumulent sur l'Italie. L'élection de Berlusconi est le signe d'une dégradation ultime de la démocratie : la confusion des pouvoirs économique, d'opinion et politique trouble le jeu des institutions. Les difficultés de Fiat annoncent-elles une fêlure dans l'économie du nord de l'Italie ?

Mais le symptôme le plus grave et le moins souvent analysé est démographique : une dénatalité accentuée. Que l'Italie du Nord, aujourd'hui si opulente, ait le taux de fécondité le plus bas d'Europe est alarmant : moins de 1 enfant par femme en moyenne.Dice,per chi non capisse un po' il francese,che l'Italia del nord ha una natalita' di meno di 1 bambino per femmina A ce rythme, les démographes prévoient une baisse de la population totale de 60 millions à 40 millions d'ici 2050. Aucun peuple ne peut supporter pareil traumatisme. Et l'équilibre général de l'Europe en serait ébranlé.

Jusqu'à présent, la forte natalité du Mezzogiorno compensait la faible natalité du Nord et la migration Sud-Nord assurait le maintien de l'équilibre. Depuis quelques années, la fécondité a brusquement cédé dans les provinces du Sud : 1,3 enfant par femme en 2000.

Les Italiens n'ont pas l'air de prendre au sérieux le danger qui les menace. Sans doute parce que, depuis un siècle, la surpopulation a nourri une forte émigration qui a peuplé les deux Amériques et la France. Ils ne peuvent concevoir un tel retournement.

Le pourquoi d'une faible ou d'une forte natalité reste sans réponse. Démographes et sociologues donnent leur langue au chat. Dans le cas de l'Italie, il semble bien que ce soit la structure particulière de la famille italienne qu'il faille mettre en cause. Or la famille a une importance particulière en Italie, où les petites entreprises familiales sont particulièrement nombreuses et prospères.

Le modèle familial, abondamment décrit par les sociologues italiens, peut se schématiser, ou même se caricaturer, en quelques traits. La mamma assure à son foyer un service domestique de haute qualité : la pasta succulente, le logement cossu et briqué tous les jours, la chemise fraîche repassée tous les soirs pour que les jeunes soient fringants. Luxes qui rendent d'autant plus difficile la vie de la mère qui a un emploi.

De son côté, le père travaille dur pour financer ces luxes : il a très souvent deux emplois, notamment dans le Sud. Les enfants adultes vivent "aux crochets" de leurs parents, jusqu'à 30 ans passés : filles et garçons vivent au foyer parental et ne contribuent généralement pas aux frais domestiques. S'ils ont un emploi ou un petit boulot, ce qu'ils gagnent leur sert d'argent de poche. Vivre chez les parents n'empêche pas d'avoir une liaison stable (plus ou moins), car les parents laissent aux garçons, comme aux filles, une autonomie complète.

Deux chiffres traduisent cette étrange vie de famille. Les jeunes hommes quittent le foyer parental à 27 ans en moyenne, alors qu'au Danemark ils le quittent à 20 ans.

voir séquence

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Et cette tendance se renforce : entre 1990 et 1998, la part des 25-29 ans domiciliés chez leurs parents est passée de 40 % à 60 % et celle des jeunes hommes de 30 ans à 34 ans qui n'ont pas encore quitté le domicile parental a augmenté de 18 % à 30 %. En France, à ces mêmes dates, la part des 25-29 ans vivant encore chez leurs parents est passée de 18 % à 21 %.

Second chiffre caractéristique : le taux des naissances hors mariage est le plus faible d'Europe occidentale avec la Suisse (8,3 %), alors qu'il est de près de 40 % en France et près de 50 % au Danemark. En moyenne, les filles se marient à 28 ans et ont leur premier enfant à 29 ans. Autrement dit, l'Italie est, avec l'Espagne, le seul pays d'Europe où le mariage demeure le préalable à la procréation.

Les jeunes se marient de plus en plus tard et attendent d'avoir des emplois stables et lucratifs, et d'être confortablement installés, pour avoir un enfant. De plus, ils ont connu d'expérience la charge que représente un enfant si on veut qu'il soit élevé comme ils l'ont été eux-mêmes : dans leur esprit, cette surévaluation de l'enfant a entraîné l'esclavage de leurs parents, et les jeunes ne sont pas prêts à s'y soumettre. Pas question d'avoir un enfant sans être marié. Dans les classes moyennes, la première naissance est souvent retardée de cinq ou six ans après le mariage. Ce retard de la première naissance diminue considérablement les chances d'en avoir une seconde.

Les garçons ont "la bonne vie" et attendent donc que leur épouse reprenne le rôle de leur mère et les entoure de soins prévenants. Malheureusement, ils seront cruellement déçus, parce que les filles refusent de reproduire le modèle maternel et de se dépenser sans compter pour assurer le service domestique de haute qualité auquel leurs époux ont été habitués. Elles ont d'autres aspirations, fréquentent l'école de plus en plus longtemps. Au Nord, elles se portent plus nombreuses sur le marché du travail. Par contraste, au Sud, la situation des jeunes femmes est alarmante. En 2000, leur taux d'emploi occupé était de 9,9 % pour les 15-24 ans (contre 36 % au Nord) et 26,5 % pour les 25-34 ans (contre 70,9 % au Nord). Et les taux de chômage global sont de 20 % au Sud et de 5 % au Nord.

Depuis cinquante ans, on attend le décollage économique du Mezzogiorno, en vain : toutes les aides ne servent qu'à renforcer les structures traditionnelles. Il semble bien que l'esprit d'entreprise, la structure familiale et les institutions locales qui ont fait le succès de la Troisième Italie fassent toujours défaut dans le Sud. La comparaison avec l'Andalousie est accablante. Dans le Nord, l'économie est en manque de main-d'œuvre puisque le chômage y est l'un des plus bas d'Europe. Les jeunes hommes cessent plus tôt leurs études puisqu'ils trouvent aisément un emploi bien rémunéré et qu'ils vivent chez leurs parents.

Une immigration massive paraît donc, à court terme, la seule solution possible. Encore faut-il préciser quel genre d'emplois ces immigrés peuvent exercer. D'un côté, l'industrie n'a plus besoin de manœuvres, mais de techniciens et d'ingénieurs de plus ou moins haut niveau ; de l'autre, le secteur tertiaire d'employés de niveau baccalauréat au minimum. Les petites entreprises commencent à former ces techniciens ; en revanche les grandes manqueront d'ingénieurs. Visiblement les Albanais d'Albanie et du Kosovo, qui sont prêts à traverser l'Adriatique, répondent mal à ces exigences.

Les femmes constituent le seul réservoir de main-d'œuvre diplômée disponible. Le taux d'emploi des femmes s'est élevé dans les années récentes jusqu'à atteindre la moyenne européenne (55 %). Mais si les femmes de l'Italie du Nord se mettent à avoir un emploi, le genre de vie familial fondé sur la mamma ne pourra se perpétuer. Peut-être, alors, les Italiennes se remettront-elles à avoir des enfants, sauvant ainsi le pays du suicide collectif.

L'Etat-providence est aussi responsable de cette situation. Pour pouvoir se mettre en ménage, les jeunes doivent trouver facilement des logements bon marché et donc petits ; or le marché du logement locatif est très étroit et l'Etat-providence ne fournit pas d'aide au logement : seulement 20 % des ménages sont locataires dans le secteur privé.

La condition de la femme doit être modifiée de fond en comble. Dans nos sociétés, il faut que les femmes aient très jeunes un emploi si l'on veut qu'elles aient plusieurs enfants. Le mariage ne doit plus être la condition de la procréation. Il faut pousser les femmes à entrer massivement sur le marché de l'emploi, et pour cela les décharger des tâches parentales et éducatives. Il faut donc que l'Etat-providence prenne le relais de la famille traditionnelle par des aides au logement des jeunes ménages, des privilèges aux mères célibataires, en créant des crèches, des écoles maternelles et des garderies de toute sorte, des congés parentaux... Enfin, le mariage tardif étant un frein à la natalité, il faudrait que le mariage ne soit plus le préalable obligé à la naissance d'un enfant, comme ailleurs en Europe. La structure familiale doit éclater : la mamma doit mettre dehors ses enfants le plus tôt possible.

Cette véritable révolution culturelle s'impose et va sans doute se produire si les jeunes femmes refusent de reprendre le rôle et les fonctions de leur mère. C'est le seul espoir pour que l'Italie échappe au suicide qui la menace. Cependant, cette révolution idéologique, culturelle et familiale ne doit pas mettre en péril la civilisation italienne. Pour les amis de l'Italie et pour le monde entier, ce serait une perte irréparable et catastrophique.

Henri Mendras est sociologue.


Ora,meno di 1 bambino per femmina(ma anche al Sud non stanno meglio con 1,3 per femmina) e' il TASSO + BASSO AL MONDO!E questi sono DATI,non fantasie.
A costo di sembrare nazista,insisto perche' la natalita' sia messa IMMEDIATAMENTE AL CENTRO DELL'ATTENZIONE,e con questo non intendo un richiamo alla religiosita' riguardo la famiglia naturale o non naturale:no,qui e' proprio un problema di natalita' pura,di numeri.
Ora,secondo voi,ha senso la secessione di una futura Padania senza padani?Ma non nel senso che i padani non ci saranno,tutt'altro!Ci saranno ancora,e magari di +,ma NON saranno i padani di oggi: saranno padani strani: padani marocchini,albanesi,senegalesi,filippini,cinesi.In somma NON saranno padani padani:non saranno padani bianchi.
Gia' e lo dico senza il timore di apparire razzista,perche' diciamoci la verita':la caratteristica dei padani di oggi e' INDISCUTIBILMENTE quella di essere bianchi e di essere cresciuti attraverso le tradizioni proprie della Padania.I "padani" di domani faranno e potranno essere lo stesso???Lo dubito fortemente visto che talvolta sanno a malapena la lingua.
Ora,il DATO DI FATTO,e' che ormai in tutti i continenti,i bianchi stanno ritirandosi velocemente sotto la spinta di 2 fattori:
1)L'immigrazione legale e illegale
2)La fortissima denaltalita'

Detto questo,o questo governo inizia REALMENTE e IMMEDIATAMENTE a dare GRANDISSIMI incentivi fiscali attraverso forti sgravi fiscali in proporzione del numero figli concepiti(ovviamente deve valere solo per i padani bianchi) e a dare quasi gratis una casa decente a TUTTE le coppie(non mi interessa se sposate in chiesa,al comune,al supermercato o se non sposate) che intendano procreare,o per la "nostra" Padania bianca e' davvero LA FINE.
Guardate,puo' sembrare un discorso nazi-fascista,ma stavolta i NUMERI sono PAZZESCHI(e pure il giornale francese LeMonde se n'e' accorto):bisogna agire SUBITO!
Spingere fortissimamente sulla natalita' e sul blocco totale dell'immigrazione DEVONO essere NECESSARIAMENTE la priorita' di questo governo.
Questo non e' razzismo,ma auto-difesa...istinto di sopravvivenza.

Saluti da un padano in via d'estinzione :(



Dragon...Mi sembra di aver toccato questo tasto qualche tempo fa...Se non sbaglio, qualche padano mi dette del fasciosfigato...:D

Totila
06-03-02, 17:00
Dragon, sei svenuto?:D

Dragonball (POL)
06-03-02, 17:22
Vedi Totila la differenza tra me e i nazifascisti,e' che io,magari dico,cose possono sembrare naziste,ma parto da un'ottica pragmatica di risoluzione individuando senza pregiudizi e ideologie,le cause del problema e proponendo anche drastiche soluzioni;mentre i nazi gia' prima di individuare cause e soluzioni del problema partono con idee ben precise e dei pregiudizi ideologizzati.
Esempio:il problema della bassa crescita demografica e l'immigrazione.

Io dico che pragmaticamente,vedendo i dati,i bianchi (soprattutto in Padania) rischiano di scomparire per lasciare posto all'immigrazione terzomondista che legale o illegale,visto l'alto tasso di crescita,dati alla mano,rischia,fra un po',di diventare la maggioranza in Padania.Pertanto la mia soluzione e' di aumentare mediante incentivi economici gli sgravi alle giovani coppie che hanno figli,e non importa se sposati in chiesa,in comune o al supermercato o non sposati:l'importante e' che abbiamo figli.

L'approccio ideologico invece che fa invece?Parte subito all'attacco contro la "congiura ebrea",la Trilateral,il mondialismo,Israele,gli USA ,la NATO ecc...,perche' non ha bisogno di dimostrare qualcosa,visto che ha gia' un pregiudizio (negativo) in partenza.
Piccola domanda:
Secondo te se si facessero 2 referendum in cui,in uno si chiedesse al Popolo di bloccare l'immigrazione legale e illegale altrimenti c'e' il rischio di essere trovarsi in una Padania non padana,mentre nell'altro si chiedesse sempre di fermare l'immigrazione legale e illegale,addossando la colpa ai "perfidi giudei",al mondialismo,alla trilateral,l'ONU,il complotto massonico ecc...SECONDO TE,TOTILA,QUALE DEI REFERENDUM PASSEREBBE???

LN
06-03-02, 19:01
Originally posted by Totila




Dragon...Mi sembra di aver toccato questo tasto qualche tempo fa...Se non sbaglio, qualche padano mi dette del fasciosfigato...:D

Anch'io avevo toccato l'argomento in #padania2 (chat) e la reazione era stata simile :rolleyes:

Spirit
06-03-02, 19:08
Il problema è che le comunità allogene rivendicheranno sempre più i propri diritti e le proprie consuetudini, fonderanno proprie associazioni politiche, avanzeranno richieste contrastanti con costituzioni, statuti,codici vigenti in Europa: pensiamo alla poligamia,al ruolo delle donne nella società....Pensiamo ai modelli educativi che già stanno sorgendo clandestinamente.... Pensiamo alla riforma del codice penale che prevederà l'islamizzazione delle pene, in netto contrasto con la nostra tradizione giuridica.... Pensiamo poi all'inscindibilità tra religione,arti e vita politica nell'Islam..... Saranno anni molto caldi quelli che dovranno vivere i nostri figli, e forse anche noi, perchè è naturale che quando un'etnia assume la consapevolezza di rappresentare la maggioranza,impone le proprie leggi.....E a quel punto non ci saranno costituzioni che terranno.....Il problema è capire cosa si può fare per incentivare la natalità: i finanziamenti alle famiglie non bastano, perchè il problema è si anche economico, nel senso che la prole oggi non è una forma di ricchezza ma una sorgente di spesa continua, ma anche morale. I figli comportano responsabilità, e gli europei, deresponsabilizzati da una cultura eccessivamente individualista, fuggono sempre più dall'idea di costruirsi un proprio e completo ambito domestico.

Bergamark
06-03-02, 19:17
Che dire? Non ci resta che trombare per non essere trombati:K :K

Propongo contributi 500 euro netti al mese per ogni padanino più giovane di 16 anni e trattenute al proposito sul groppone degli immigrati extra comunitari.

E non ditemi che non è legale perchè allora non dovrebbe esserlo neppure l'obbligarietà del mantenimento degli itagliani e dei loro politicanti.

Obbligatorietà di riproduzione per tutti i padani in salute pena il leasing del parter.;)

Celtic Pride (POL)
06-03-02, 20:22
Come si fa a fare dei figli 2 o 3 magari, dovendo pagare milioni di tasse ad uno stato straniero oppressore quale è l'itaglia???
al giorno d'oggi è impossibile che lavori un solo coniuge, la vita costa di più e gli stipendi sono gli stessi di 10 anni fa!!
ed un figlio purtroppo ha dei costi anche se è triste da dire!
è ridicolo quando si dice che "l'amore è tutto" e altre amenità buoniste simili...l'amore è importante però da realista dico che senza soldi...non si fa niente!
Si faccia la Padania, piu ricchezza per i Padani, e i figli nasceranno!